Un ras-le-bol, unanime, du personnel car la structure qui "devait être provisoire (18 mois) accueille les enfants en difficulté depuis maintenant 13 ans ! Une structure délabrée, trop exigüe voire insalubre."
« La semaine dernière nous avons trouvé un rat mort, des blattes et même un gros serpent ! » explique Joëlle Agostini, auxiliaire de puériculture, déléguée du personnel. « Notre structure n’est plus adaptée. Alors que les normes nous imposent 6 enfants en internat et 6 en externat, aujourd’hui nous en accueillons 10 en internat et 3 en externat. La chambre comprend 11 lits au lieu de 6 réglementaires. Pour nous les enfants ne sont plus accueillis dans les conditions dans lesquelles ils devraient l’être ».
La pouponnière, la seule de Corse, gérée par l’UMCS, est ouverte 365 jours sur 365 et 24h sur 24. Elle abrite des enfants de 0 à 3 ans mais détient une dérogation pour aller jusqu’à 6 ans. Des enfants confiés par leurs parents qui ne peuvent pas les élever, ou alors des enfants en maltraitance confiés par la DDISS.
Si un projet a été voté pour l’inclure dans une aile du Belvédère, si le permis de construire a bien été délivré, aujourd’hui le personnel n’a pas de nouvelles de cette nouvelle structure. D’où ce cri d’alerte ce lundi (voir ci-joint le communiqué du personnel).
CNI a recueilli les explications de Joëlle Agostini, déléguée du personnel
« La semaine dernière nous avons trouvé un rat mort, des blattes et même un gros serpent ! » explique Joëlle Agostini, auxiliaire de puériculture, déléguée du personnel. « Notre structure n’est plus adaptée. Alors que les normes nous imposent 6 enfants en internat et 6 en externat, aujourd’hui nous en accueillons 10 en internat et 3 en externat. La chambre comprend 11 lits au lieu de 6 réglementaires. Pour nous les enfants ne sont plus accueillis dans les conditions dans lesquelles ils devraient l’être ».
La pouponnière, la seule de Corse, gérée par l’UMCS, est ouverte 365 jours sur 365 et 24h sur 24. Elle abrite des enfants de 0 à 3 ans mais détient une dérogation pour aller jusqu’à 6 ans. Des enfants confiés par leurs parents qui ne peuvent pas les élever, ou alors des enfants en maltraitance confiés par la DDISS.
Si un projet a été voté pour l’inclure dans une aile du Belvédère, si le permis de construire a bien été délivré, aujourd’hui le personnel n’a pas de nouvelles de cette nouvelle structure. D’où ce cri d’alerte ce lundi (voir ci-joint le communiqué du personnel).
CNI a recueilli les explications de Joëlle Agostini, déléguée du personnel