Les deux représentants syndicaux soulignent dans un communiqué que "lors du dernier Conseil d’Administration de l’Institut Régional d’Administration de Bastia (IRA de Bastia) le 9 mars dernier, Ia Direction Générale de I’Administration et de la Fonction Publique
(DGAFP), tutelle des IRA, a confirmé la mise en œuvre d’une réforme profonde de la scolarité dans les instituts. Celle-ci, voulue pour des raisons essentiellement budgétaires, aura un impact fort sur I'évolution de I‘activité des établissements.
Didier Grassi et Marie-France Fromentin indiquent que si," pour l’Ira de Bastia, si le nombre d'élèves formés restera identique, la formation ne durera plus que six mois en présentiel a Bastia. Bien évidemment, cela entrainera une baisse significative de l’impact économique de l’institut sur la vie de la ville. Ainsi, ce sont environ 70 foyers de moins que comptera la vie locale.
De plus, et alors que l’effectif du personnel permanent a été réduit de 15% sur les dernières années, une nouvelle compression est programmée avec la suppression de 2 nouveaux postes a court terme..."
Pour les deux syndicalistes il ne fait aucun doute que "dans les années a venir, c'est bien sur I’existence même des IRA et de l'Ira de Bastia en particulier qui peut être mise en cause avec des conséquences économiques majeures pour notre ville.
Les personnels de I'IRA de Bastia, inquiets du devenir de leur établissement, souhaitent, par cette communication, alerter la population et les autorités locales sur cette situation..."
(DGAFP), tutelle des IRA, a confirmé la mise en œuvre d’une réforme profonde de la scolarité dans les instituts. Celle-ci, voulue pour des raisons essentiellement budgétaires, aura un impact fort sur I'évolution de I‘activité des établissements.
Didier Grassi et Marie-France Fromentin indiquent que si," pour l’Ira de Bastia, si le nombre d'élèves formés restera identique, la formation ne durera plus que six mois en présentiel a Bastia. Bien évidemment, cela entrainera une baisse significative de l’impact économique de l’institut sur la vie de la ville. Ainsi, ce sont environ 70 foyers de moins que comptera la vie locale.
De plus, et alors que l’effectif du personnel permanent a été réduit de 15% sur les dernières années, une nouvelle compression est programmée avec la suppression de 2 nouveaux postes a court terme..."
Pour les deux syndicalistes il ne fait aucun doute que "dans les années a venir, c'est bien sur I’existence même des IRA et de l'Ira de Bastia en particulier qui peut être mise en cause avec des conséquences économiques majeures pour notre ville.
Les personnels de I'IRA de Bastia, inquiets du devenir de leur établissement, souhaitent, par cette communication, alerter la population et les autorités locales sur cette situation..."