Bruno Degray (au centre) : " On va se qualifier "
" L'avantage, c'est que de chez moi, je pouvais y aller à pied".
Et à 7 ans - c'est l'âge auquel Bruno a touché son premier ballon ovale - cela compte. C'est de la sorte et sous les couleurs du RCL, que le petit Degray a fait toutes ses gammes.
" J'ai joué la-bas jusqu'en juniors à l'époque où les clubs de Lucciana et de Bastia possédaient une équipe commune à ce niveau" explique Bruno Degray qui s'est ensuite rapproché du SCB avec lequel il a disputé, alors qu'il était toujours junior, les phases finales du championnat de France qui ont suivi l'accession en Fédérale 3.
La suite ?
Elle se situe encore au SCB pour Bruno avec, cette fois, une pleine saison en Fédérale 2. Et pas dans n'importe quelles conditions. Puisqu'il fut titulaire de la première à la dernière rencontre. Il est vrai que l'homme impressionne sur un terrain de rugby. Par sa présence. Sa constance dans l'effort. Sa formidable envie d'aller de l'avant. De gagner.
Tout à l'opposé, en fait, de l'impression qu'il dégage dans la vie de tous les jours. Parfois, il faut en effet bien tendre l'oreille pour saisir le propos de ce joueur, toujours d'humeur égale, et à l'éternel petit sourire au coin des lèvres.
Il n'en demeure pas moins, que Bruno Degray sait, aussi, faire les efforts qu'il convient même hors des terrains de rugby.
"Après la Fédérale 2, j'ai arrêté pendant un an pour partir travailler sur le Continent".
Mais le virus du rugby ne l'a pas abandonné pour autant. Cette fois, c'est vers Bastia XV, nouveau venu sur la scène du rugby corse, que Bruno Degray est allé. Pour y être sacré champion de Corse mais ne pouvoir disputer sur le Continent que les phases finales du championnat de France de première série de l'époque.
Depuis beaucoup d'eau a coulé sous le pont du Golu. La division d'honneur et la Fédérale 3 - c'est la troisième saison à ce niveau - ont suivi et Bruno Degray a apporté son concours régulier à cette entreprise .
Mais le match face à Gap a freiné le bastiais : une blessure a l'épaule va le priver, en effet, des dernières rencontres des phases qualificatives.
Mais qu'à cela ne tienne. Le moral est toujours là. " Oui nous allons nous qualifier " affirme Degray. "Et je serai de retour à la pour les phases finales !"
Et si Bruno le dit…
" J'ai joué la-bas jusqu'en juniors à l'époque où les clubs de Lucciana et de Bastia possédaient une équipe commune à ce niveau" explique Bruno Degray qui s'est ensuite rapproché du SCB avec lequel il a disputé, alors qu'il était toujours junior, les phases finales du championnat de France qui ont suivi l'accession en Fédérale 3.
La suite ?
Elle se situe encore au SCB pour Bruno avec, cette fois, une pleine saison en Fédérale 2. Et pas dans n'importe quelles conditions. Puisqu'il fut titulaire de la première à la dernière rencontre. Il est vrai que l'homme impressionne sur un terrain de rugby. Par sa présence. Sa constance dans l'effort. Sa formidable envie d'aller de l'avant. De gagner.
Tout à l'opposé, en fait, de l'impression qu'il dégage dans la vie de tous les jours. Parfois, il faut en effet bien tendre l'oreille pour saisir le propos de ce joueur, toujours d'humeur égale, et à l'éternel petit sourire au coin des lèvres.
Il n'en demeure pas moins, que Bruno Degray sait, aussi, faire les efforts qu'il convient même hors des terrains de rugby.
"Après la Fédérale 2, j'ai arrêté pendant un an pour partir travailler sur le Continent".
Mais le virus du rugby ne l'a pas abandonné pour autant. Cette fois, c'est vers Bastia XV, nouveau venu sur la scène du rugby corse, que Bruno Degray est allé. Pour y être sacré champion de Corse mais ne pouvoir disputer sur le Continent que les phases finales du championnat de France de première série de l'époque.
Depuis beaucoup d'eau a coulé sous le pont du Golu. La division d'honneur et la Fédérale 3 - c'est la troisième saison à ce niveau - ont suivi et Bruno Degray a apporté son concours régulier à cette entreprise .
Mais le match face à Gap a freiné le bastiais : une blessure a l'épaule va le priver, en effet, des dernières rencontres des phases qualificatives.
Mais qu'à cela ne tienne. Le moral est toujours là. " Oui nous allons nous qualifier " affirme Degray. "Et je serai de retour à la pour les phases finales !"
Et si Bruno le dit…
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