Dans le cortège des manifestants, il y avait bien sûr les cadres de Nazione qui, à l'image de Petr'Anto Tomasi, rappelaient le sens de ce rassemblement qui se voulait quelque part aussi totalement opposé au processus de Beauvau auquel aucun des participants n'adhérait
"Avemu manghjiatu lacrimo per vedi vi Tichjà in Beauvau" pouvait-on d'ailleurs lire sur la banderole qui fermait la marche du cortège qui du palais de Justice à la préfecture s'est déplacé, dès 14h30, au rythme des slogans de "Statu francese assassina, é fore a Francia, per di diritu di u populu corsu" ou bien encore "Indipendenza"
Au rassemblement des représentants d'autres formations aussi. De Core in Fronte et de Battì Arena notamment, qui, au-delà des revendications générales, soulignait qu'il devait être là pour soutenir la cause des prisonniers politiques, pour les anciens détenus soumis à l'obligation du Fijait et à de fortes amendes, mais aussi parce c'était le 2 mars et qu'il y a 2 ans Yvan Colonna était mortellement agressé à Arles.
Basques, Catalans, Calédoniens, Kanaks avaient fait aussi le déplacement.
Des télés étrangères et des journalistes étrangers ont également suivi avec une attention toute particulière le déroulement de la manifestation qui durant près d'une heure s'est déplacée ainsi sur la principale artère de Bastia, au ralenti en cette période de vacances scolaires, puis sur le cours Maréchal Sébastiani jusqu'à l'arrivée devant les grilles de la préfecture où les porteurs des différentes banderoles se sont positionnés.
C'est là que Ghjuvan-Filippu Antolini du collectif Patriotti aux côtés duquel se tenait Thierry Casolasco, président de l'Associu Sulidarità, s'est exprimé en langue corse (voir notre vidéo publiée en direct sur Facebook) pour rappeler le sens du rassemblement.
Dès la fin de son propos, l'ordre de dislocation était donné.
À quelques centaines de mètres, un second acte beaucoup bref mais plus agité débutait...
On vous en parle par ailleurs.
"Avemu manghjiatu lacrimo per vedi vi Tichjà in Beauvau" pouvait-on d'ailleurs lire sur la banderole qui fermait la marche du cortège qui du palais de Justice à la préfecture s'est déplacé, dès 14h30, au rythme des slogans de "Statu francese assassina, é fore a Francia, per di diritu di u populu corsu" ou bien encore "Indipendenza"
Au rassemblement des représentants d'autres formations aussi. De Core in Fronte et de Battì Arena notamment, qui, au-delà des revendications générales, soulignait qu'il devait être là pour soutenir la cause des prisonniers politiques, pour les anciens détenus soumis à l'obligation du Fijait et à de fortes amendes, mais aussi parce c'était le 2 mars et qu'il y a 2 ans Yvan Colonna était mortellement agressé à Arles.
Basques, Catalans, Calédoniens, Kanaks avaient fait aussi le déplacement.
Des télés étrangères et des journalistes étrangers ont également suivi avec une attention toute particulière le déroulement de la manifestation qui durant près d'une heure s'est déplacée ainsi sur la principale artère de Bastia, au ralenti en cette période de vacances scolaires, puis sur le cours Maréchal Sébastiani jusqu'à l'arrivée devant les grilles de la préfecture où les porteurs des différentes banderoles se sont positionnés.
C'est là que Ghjuvan-Filippu Antolini du collectif Patriotti aux côtés duquel se tenait Thierry Casolasco, président de l'Associu Sulidarità, s'est exprimé en langue corse (voir notre vidéo publiée en direct sur Facebook) pour rappeler le sens du rassemblement.
Dès la fin de son propos, l'ordre de dislocation était donné.
À quelques centaines de mètres, un second acte beaucoup bref mais plus agité débutait...
On vous en parle par ailleurs.