L’ADEC s’est très vite concentrée sur 2019 et sa politique qui s’articule autour de cinq priorités, cinq gros sujets qui sont au carrefour de ce qui a été engagé et ce qui reste à faire :
L’ADEC continue de se pencher sur la santé des petites entreprises et continue de les aider avec des résultats probants enregistrés en 2018. Jean-Christophe Angelini fait le point :
« Les petites entreprises constituent plus que jamais notre cœur de cible. On s’aperçoit que le chômage, bien qu’important, tente à diminuer, que la sinistralité des entreprises tente à baisser, que la dynamique à l’export demeure très forte (plus de 100 millions d’euros pour l’année écoulée). On a en même temps un taux de création d’activité et d’emploi qui redémarre. Pour exemple, l’ADEC en 2016 c’est 700 déclarations d’intention (DI), 1100 en 2017 et 1400 en 2018. Je pense que nous allons franchir allègrement le cap des 1500 cette année. Ce sont autant d’entreprises et d’emplois que nous aidons tous les ans. »
Le détail des priorités
Tour à tour, Jean-Charles Vallée, sur l’économie des territoires, Lesia Sargentini, sur la filière numérique et l’accompagnement aux entreprises et Olivier Mosconi, sur l’effort financier de la Collectivité de Corse et de l’Etat, sont entrés dans le détail pour développer plus encore les cinq grandes priorités fixées par l’ADEC pour construire les politiques économiques de la Corse. Comme l’a souligné Jean-Christophe Angelini :
« Les territoires ont des aspirations et des besoins de nature différente. On ne peut pas développer économiquement le bassin ajaccien et le Boziu de la même manière, pas plus que l’extrême sud ou la Balagne et le centre Corse. Il y a des logiques démographiques, des logiques économiques et infrastructurelles qui sont par nature différentes et qui commandent dans un cadre homogène que nous répondions parfois de façon différenciée comme vous l’ont développé Jean-Charles et Olivier… »
J. F.
- 1. Répondre à l’urgence sociale avec des constructions économiques adaptées que sont l’inclusion sociale, le retour à l’emploi, l’économie sociale et solidaire, la conférence pour l’emploi, la lutte contre le chômage, le tout financé sur les fonds européens entre autres choses
- 2. Faire respirer économiquement les territoires, par des conventions qui seront signées avec chacun des EPCI, chacune des intercommunalités de Corse, et auxquelles le mouvement consulaire sera associé
- 3. Favoriser innovation et compétitivité et faire de la Corse une île forte à l’échelle européenne voire mondiale en termes de savoir faire, d’inventivité et d’audace
- 4. Mieux s’ouvrir à l’international, un sujet fondamental, assurer la présence de la Corse partout, avec des Volontaires à l’Initiative Economique (VIE) comme par exemple celui basé à Bruxelles, un réseau des ambassadeurs économiques qui sera prochainement mis en place, des missions de prospection économique dont la première aura lieu du 13 au 20 avril prochain au Quebec, sans oublier les actions sur la constitution d’une Team export, une convention renouvelée avec business-France, un partenariat stratégique avec plusieurs entreprises qui sont sur la scène internationale. C’est une dynamique nouvelle qui a été impulsée
- 5. Simplifier la vie de l’entrepreneur, en raccourcissant les délais d’instruction des dossiers et en favorisant un règlement des aides beaucoup plus rapide
L’ADEC continue de se pencher sur la santé des petites entreprises et continue de les aider avec des résultats probants enregistrés en 2018. Jean-Christophe Angelini fait le point :
« Les petites entreprises constituent plus que jamais notre cœur de cible. On s’aperçoit que le chômage, bien qu’important, tente à diminuer, que la sinistralité des entreprises tente à baisser, que la dynamique à l’export demeure très forte (plus de 100 millions d’euros pour l’année écoulée). On a en même temps un taux de création d’activité et d’emploi qui redémarre. Pour exemple, l’ADEC en 2016 c’est 700 déclarations d’intention (DI), 1100 en 2017 et 1400 en 2018. Je pense que nous allons franchir allègrement le cap des 1500 cette année. Ce sont autant d’entreprises et d’emplois que nous aidons tous les ans. »
Le détail des priorités
Tour à tour, Jean-Charles Vallée, sur l’économie des territoires, Lesia Sargentini, sur la filière numérique et l’accompagnement aux entreprises et Olivier Mosconi, sur l’effort financier de la Collectivité de Corse et de l’Etat, sont entrés dans le détail pour développer plus encore les cinq grandes priorités fixées par l’ADEC pour construire les politiques économiques de la Corse. Comme l’a souligné Jean-Christophe Angelini :
« Les territoires ont des aspirations et des besoins de nature différente. On ne peut pas développer économiquement le bassin ajaccien et le Boziu de la même manière, pas plus que l’extrême sud ou la Balagne et le centre Corse. Il y a des logiques démographiques, des logiques économiques et infrastructurelles qui sont par nature différentes et qui commandent dans un cadre homogène que nous répondions parfois de façon différenciée comme vous l’ont développé Jean-Charles et Olivier… »
J. F.