La présence de bovins a Girolata-Ghjirulatu fait l’objet de préoccupations exprimées par des associations et des particuliers se réclamant du bien être animal. Des photos d'animaux faméliques sont diffusées sur les réseaux sociaux.
Ces bovins qui fréquentent la plage de Girolata/Ghiirulatu sont issus d'un cheptel nombreux d'animaux qui vivent l'état sauvage entre Galeria et Osani. Ils n’ont aucun maitre, et aucun éleveur bovin n’a d'activité dans Ie secteur. Ils sont issues de troupeaux qui étaient autrefois entretenus par des éleveurs aujourd'hui pour la plupart disparus.
Deux ruisseaux qui ont leur débouché sur la plage de Glrolata/Ghlirulatu forment des points d'eau où les animaux peuvent s’abreuver. C’est l'explication sans doute de leur arrivée sur ce site malgré le dérangement des nombreux touristes qui y circulent durant l'été.
Certaines se familiarisent avec cette fréquentation humaine.
Nous les avons toujours respectés, des l'instant que la sécurité des personnes n’est pas menacée. Aucune maltraitance n'a jamais été commise.
Comme les dizaines de bovins qui sillonnent le maquis dans ce secteur, ces vaches. qui sont a la vue des touristes dans la journée, trouvent leur subsistance dans les environs du village. Et. comme pour leurs congénères, la nourriture devient très rare l’été venu.
Cette année, la sécheresse atteint même un degré extreme, et les animaux souffrent particulièrement. ll est probable que, comme pour les autres animaux sauvages, une mortalité importante sera constatée d’ici la fin de l‘été.
Nous n'y pouvons pas grand chose. Si l’accès a l'eau est toujours possible, celui à la nourriture est beaucoup plus problématique car Girolata/Ghjirulatu n'a pas d'accès routier et par voie de conséquence aucun moyen de l’acheminer sur place.
ll serait aussi a craindre que cela n’amplifle encore la fréquentation du secteur par d’autres bovins faméliques en faisant courir un danger aux visiteurs.
Un accident a, déjà, eu lieu cet été sur un chemin de randonnée, a mi-parcours entre Galeria et Girolata/Ghjirulatu.
Doit-on faire euthanasier ces animaux ? Doit-on les stériliser pour que leur présence s'éteigne progressivement ?
La commune est ouverte a toute collaboration avec les associations, mais ll est parfois d s situations qui laissent impuissants. C’est le cas pour ces animaux qu’une sécheresse exceptionnelle affame aujourd'hui.
Ces bovins qui fréquentent la plage de Girolata/Ghiirulatu sont issus d'un cheptel nombreux d'animaux qui vivent l'état sauvage entre Galeria et Osani. Ils n’ont aucun maitre, et aucun éleveur bovin n’a d'activité dans Ie secteur. Ils sont issues de troupeaux qui étaient autrefois entretenus par des éleveurs aujourd'hui pour la plupart disparus.
Deux ruisseaux qui ont leur débouché sur la plage de Glrolata/Ghlirulatu forment des points d'eau où les animaux peuvent s’abreuver. C’est l'explication sans doute de leur arrivée sur ce site malgré le dérangement des nombreux touristes qui y circulent durant l'été.
Certaines se familiarisent avec cette fréquentation humaine.
Nous les avons toujours respectés, des l'instant que la sécurité des personnes n’est pas menacée. Aucune maltraitance n'a jamais été commise.
Comme les dizaines de bovins qui sillonnent le maquis dans ce secteur, ces vaches. qui sont a la vue des touristes dans la journée, trouvent leur subsistance dans les environs du village. Et. comme pour leurs congénères, la nourriture devient très rare l’été venu.
Cette année, la sécheresse atteint même un degré extreme, et les animaux souffrent particulièrement. ll est probable que, comme pour les autres animaux sauvages, une mortalité importante sera constatée d’ici la fin de l‘été.
Nous n'y pouvons pas grand chose. Si l’accès a l'eau est toujours possible, celui à la nourriture est beaucoup plus problématique car Girolata/Ghjirulatu n'a pas d'accès routier et par voie de conséquence aucun moyen de l’acheminer sur place.
ll serait aussi a craindre que cela n’amplifle encore la fréquentation du secteur par d’autres bovins faméliques en faisant courir un danger aux visiteurs.
Un accident a, déjà, eu lieu cet été sur un chemin de randonnée, a mi-parcours entre Galeria et Girolata/Ghjirulatu.
Doit-on faire euthanasier ces animaux ? Doit-on les stériliser pour que leur présence s'éteigne progressivement ?
La commune est ouverte a toute collaboration avec les associations, mais ll est parfois d s situations qui laissent impuissants. C’est le cas pour ces animaux qu’une sécheresse exceptionnelle affame aujourd'hui.