C'est une histoire d'eau qui a ouvert les débats du conseil communautaire.
Après les deux appels d'offres jugés infructueux et non réglementaires, l'exécutif communautaire proposait de prolonger, par avenant d'un an, l'actuelle délégation de service public relative au marché de l'eau et de l'assainissement.
Mais l'avenant à un coût : 698 000 € avec un supplément estimé à 150 000 de ces mêmes euros…
Dès lors s'est posée la question de savoir qui devait supporter cette dernière somme destinée essentiellement à améliorer le réseau : la communauté d'agglomération ou les clients de l'office hydraulique toujours détenteur de la DSP ?
Pour François Tatti il aurait été difficile aux finances de la CAB de supporter ce supplément : il a proposé au conseil communautaire une augmentation de la facture de 2% qui, selon lui, aurait été de toutes façons répercutée par l'Office lui-même pour faire face à ses obligations…
Une suspension de séance a été nécessaire pour permettre à l'assemblée de prendre cette décision que l'opposition représentée par Francis Riolacci et Jean Zuccarelli a vigoureusement rejeté non sans dénoncer "la précipitation voire l'improvisation des élus de la majorité", ce qui permit à François Tatti de rappeler que c'était le retard inhérent au retard pris par la précédente équipe communautaire qui n'avait permis au dossier d'être traité plus tôt.
Bref. Désormais la CAB a un an pour soit opter pour une gestion de l'eau et de l'assainissement en régie soit pour une délégation de service public.
Un sursis que les personnels de l'office hydraulique présent dans la salle n'ont apprécié qu'à moitié…
"Personne ne veut rentrer dans un nouveau dispositif sans un accord avec le personnel" avait pourtant souligné un peu avant le président de la CAB.
Furiani : Une part fixe de 428 000€ par an et une part variable
Furiani et le Sporting club de Bastia : le sujet est revenu pour la énième fois devant la CAB. Mais cette fois de la discussion entre le club et la communauté d'agglomération a surgi la lumière. En l'occurrence une convention qui, reconductible par tacite reconduction, courra jusqu'en 2020 a précisé Jacky Padovani.
Mais pour jouir du stade Armand-Cesari le Sporting devra s'acquitter d'un loyer composé d'une part fixe de 428 000€ et d'une part variable qui sera fonction des entrées et du classement final du club.
Une solution qui va donner une perspective sécurisée au plan juridique à la CAB et qui au plan financier respecte les intérêts des deux parties ainsi que le soulignait Gilles Simeoni non sans évoquer l'héritage d'une situation difficile dont on reparlera dans cette même enceinte dans quelques temps…
Mais lundi, à l'exception des deux membres de l'opposition présents qui se sont abstenus, tout le monde - le président de la CAB en tête - s'est félicité de cet accord qui va permettre à la CAB de mettre en avant son club de Ligue 1 qui assure son rayonnement au niveau national et international.
Et à Jean Zuccarelli et Francis Riolacci qui ont reproché à Gilles Simeoni d'avoir usé, pour la circonstance d'une manœuvre politique pour parvenir à ce résultat, François Tatti a rétorqué : " Nous avons fait ce que vous n'avez pas été capables de faire au cours des années écoulées".
Mais des voix - celles de Jean-Louis Milani notamment - se sont également élevées dans l'assemblée pour se soucier du devenir du second club bastiais : le CAB, le Cercle athlétique bastiais en l'occurrence.
La CAB et son président, François Tatti s'est joint à l'appel de l'ancien défenseur des "noirs", ont promis de se préoccuper rapidement de son sort.
Après les deux appels d'offres jugés infructueux et non réglementaires, l'exécutif communautaire proposait de prolonger, par avenant d'un an, l'actuelle délégation de service public relative au marché de l'eau et de l'assainissement.
Mais l'avenant à un coût : 698 000 € avec un supplément estimé à 150 000 de ces mêmes euros…
Dès lors s'est posée la question de savoir qui devait supporter cette dernière somme destinée essentiellement à améliorer le réseau : la communauté d'agglomération ou les clients de l'office hydraulique toujours détenteur de la DSP ?
Pour François Tatti il aurait été difficile aux finances de la CAB de supporter ce supplément : il a proposé au conseil communautaire une augmentation de la facture de 2% qui, selon lui, aurait été de toutes façons répercutée par l'Office lui-même pour faire face à ses obligations…
Une suspension de séance a été nécessaire pour permettre à l'assemblée de prendre cette décision que l'opposition représentée par Francis Riolacci et Jean Zuccarelli a vigoureusement rejeté non sans dénoncer "la précipitation voire l'improvisation des élus de la majorité", ce qui permit à François Tatti de rappeler que c'était le retard inhérent au retard pris par la précédente équipe communautaire qui n'avait permis au dossier d'être traité plus tôt.
Bref. Désormais la CAB a un an pour soit opter pour une gestion de l'eau et de l'assainissement en régie soit pour une délégation de service public.
Un sursis que les personnels de l'office hydraulique présent dans la salle n'ont apprécié qu'à moitié…
"Personne ne veut rentrer dans un nouveau dispositif sans un accord avec le personnel" avait pourtant souligné un peu avant le président de la CAB.
Furiani : Une part fixe de 428 000€ par an et une part variable
Furiani et le Sporting club de Bastia : le sujet est revenu pour la énième fois devant la CAB. Mais cette fois de la discussion entre le club et la communauté d'agglomération a surgi la lumière. En l'occurrence une convention qui, reconductible par tacite reconduction, courra jusqu'en 2020 a précisé Jacky Padovani.
Mais pour jouir du stade Armand-Cesari le Sporting devra s'acquitter d'un loyer composé d'une part fixe de 428 000€ et d'une part variable qui sera fonction des entrées et du classement final du club.
Une solution qui va donner une perspective sécurisée au plan juridique à la CAB et qui au plan financier respecte les intérêts des deux parties ainsi que le soulignait Gilles Simeoni non sans évoquer l'héritage d'une situation difficile dont on reparlera dans cette même enceinte dans quelques temps…
Mais lundi, à l'exception des deux membres de l'opposition présents qui se sont abstenus, tout le monde - le président de la CAB en tête - s'est félicité de cet accord qui va permettre à la CAB de mettre en avant son club de Ligue 1 qui assure son rayonnement au niveau national et international.
Et à Jean Zuccarelli et Francis Riolacci qui ont reproché à Gilles Simeoni d'avoir usé, pour la circonstance d'une manœuvre politique pour parvenir à ce résultat, François Tatti a rétorqué : " Nous avons fait ce que vous n'avez pas été capables de faire au cours des années écoulées".
Mais des voix - celles de Jean-Louis Milani notamment - se sont également élevées dans l'assemblée pour se soucier du devenir du second club bastiais : le CAB, le Cercle athlétique bastiais en l'occurrence.
La CAB et son président, François Tatti s'est joint à l'appel de l'ancien défenseur des "noirs", ont promis de se préoccuper rapidement de son sort.