Les manifestants ont commencé par allumer quelques feux de palettes .pendant que d'autres entreprenaient de taguer les caméras de surveillance de la sous_préfecture de Calvi. Des cocktails molotov et des pierres ont ensuite été tirées sur le bâtiment.
Des gestes qui précédaient de quelques minutes l'arrivée des CRS.
La population s'est alors interposée entre les jeunes et les forces de l'ordre. Un échange qui s'est effectué dans le calme, pendant que les forces de l'ordre reculaient.
Puis il y eu un jet de gaz lacrymogène qui a été lancé vers la foule et a atteint directement les personnes qui étaient en première ligne.
Les tirs de grenades lacrymogènes ont succédé aux jets de pierre. Et les échauffourées se sont prolongées pendant plusieurs minutes.
Après quoi les forces de l'ordre ont reculé face aux manifestants en colère.
Des gestes qui précédaient de quelques minutes l'arrivée des CRS.
La population s'est alors interposée entre les jeunes et les forces de l'ordre. Un échange qui s'est effectué dans le calme, pendant que les forces de l'ordre reculaient.
Puis il y eu un jet de gaz lacrymogène qui a été lancé vers la foule et a atteint directement les personnes qui étaient en première ligne.
Les tirs de grenades lacrymogènes ont succédé aux jets de pierre. Et les échauffourées se sont prolongées pendant plusieurs minutes.
Après quoi les forces de l'ordre ont reculé face aux manifestants en colère.
Le point de la situation dressé par la préfecture de Haute-Corse en fin de soirée
Selon les services de l'Etat après une première partie de manifestation dans le calme, vers 20 heures une quarantaine de manifestants, cagoulés, ont jeté des cocktails molotov contre la sous-préfecture et brisé des vitres à coup de pierre.
C’est la première fois que la sous-préfecture de Calvi est attaquée de la sorte.
Il s’agit du 6ᵉ jour consécutif de violences en Haute-Corse. L’esprit de responsabilité doit prévaloir : des lycéens, étudiants n’ont rien à faire dans ce type de rassemblement dans lequel ils se mettent eux et les autres en danger. L’agression systématique des forces de l’ordre ne fera avancer aucune revendication. Le préfet condamne ces violences et appelle chacun au calme.