Éric Dupond-Moretti a annoncé ce mardi que 90 femmes avaient été tuées par leurs conjoints ou ex-conjoints en 2020, un chiffre en baisse par de 38% par rapport aux 146 féminicides comptabilisés par le gouvernement l’année précédente. « Nous avons obtenu ces résultats, ils sont encore trop modestes mais ils sont porteurs d'espoir », a confirmé le garde des Sceaux dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux.
Le ministre de la justice a ensuite précisé que sur les 106 homicides conjugaux qui ont été perpétrés en 2020, 90 concernent des femmes. Pour lui, cette baisse tient au regard que la société toute entière porte sur les violences conjugales, au travail des associations et enfin aux moyens que son ministère a mobilisés pour lutter contre ces violences. Éric Dupond-Moretti a notamment citer le bracelet anti-rapprochement, les téléphones grave danger (TGD) distribués à des victimes ou encore les ordonnances d’éloignement.
C’est la première fois depuis 2006 – l'année où le gouvernement a commencé le recensement – que ce nombre ne dépasse pas une centaine. Cette diminution du nombre de féminicides loin d'être suffisant est, selon le ministre « une petite lueur d’espoir. »
Le ministre de la justice a ensuite précisé que sur les 106 homicides conjugaux qui ont été perpétrés en 2020, 90 concernent des femmes. Pour lui, cette baisse tient au regard que la société toute entière porte sur les violences conjugales, au travail des associations et enfin aux moyens que son ministère a mobilisés pour lutter contre ces violences. Éric Dupond-Moretti a notamment citer le bracelet anti-rapprochement, les téléphones grave danger (TGD) distribués à des victimes ou encore les ordonnances d’éloignement.
C’est la première fois depuis 2006 – l'année où le gouvernement a commencé le recensement – que ce nombre ne dépasse pas une centaine. Cette diminution du nombre de féminicides loin d'être suffisant est, selon le ministre « une petite lueur d’espoir. »