Ce jour-là se sont affrontés 75 000 Français commandés par Napoléon 1er, et 95 000 Austro-Russes aux ordres du Maréchal Koutousov en présence de l'Empereur d'Autriche et du Tsar. Cette bataille sera nommée « la bataille des trois empereurs ». La victoire, malgré l'infériorité numérique des Français, résultera de la stratégie de Napoléon qui dès la veille, annonçait à ses troupes comment l’ennemi attaquerait le lendemain.
Le 2 décembre, à 7 heures du matin, à l'aube, la bataille s'est engagée ; et lorsque le jour s’est levé, la brume soudain s’est dissipé et le « soleil d'Austerlitz » s’est mis à briller sur le champ de bataille. Au début de l'après-midi, la tentative d'enveloppement de l’aile droite des soldats de Napoléon a tourné à la confusion des Austro-Russes, et le plateau de Pratzen est tombé entre leurs mains. Au milieu de l'après-midi, la victoire était acquise. L'empereur d'Autriche demandera la paix à Napoléon et le Tsar regroupera ses troupes éparses et prend la direction de Moscou. L’Autriche et Russie quitteront la coalition.
Outre son importance stratégique, cette bataille, ainsi que la campagne qui l'a précédée, menant la Grande Armée de Boulogne-sur-Mer jusqu’à Austerlitz, est considérée comme le chef-d'œuvre tactique de Napoléon Bonaparte.
Le 2 décembre, à 7 heures du matin, à l'aube, la bataille s'est engagée ; et lorsque le jour s’est levé, la brume soudain s’est dissipé et le « soleil d'Austerlitz » s’est mis à briller sur le champ de bataille. Au début de l'après-midi, la tentative d'enveloppement de l’aile droite des soldats de Napoléon a tourné à la confusion des Austro-Russes, et le plateau de Pratzen est tombé entre leurs mains. Au milieu de l'après-midi, la victoire était acquise. L'empereur d'Autriche demandera la paix à Napoléon et le Tsar regroupera ses troupes éparses et prend la direction de Moscou. L’Autriche et Russie quitteront la coalition.
Outre son importance stratégique, cette bataille, ainsi que la campagne qui l'a précédée, menant la Grande Armée de Boulogne-sur-Mer jusqu’à Austerlitz, est considérée comme le chef-d'œuvre tactique de Napoléon Bonaparte.