
Le 4e comité de pilotage du contrat de ville s’est déroulé mardi sous la présidence de Jean-Jacques Ferrara, président de la CAPA, lequel a rappelé dans son allocution d’ouverture que le document cadre avait été signé le 5 novembre dernier :
« C’est l’occasion aujourd’hui de dresser un premier bilan de la mise en œuvre opérationnelle des actions réalisées à ce jour. Avec ce bilan, nous reviendrons sur des éléments stratégiques qi témoignent de l’état d’esprit dans lequel nous avons construit ce contrat de ville et nous poursuivrons sur les perspectives à venir afin de fixer dans les esprits la feuille de route que nous devons partager.
La phase de réflexion est un peu derrière nous, il faut maintenant se consacrer à la réalisation des objectifs que nous nous sommes fixés. Le contrat de ville nous engage collectivement pour une durée de 5 ans. La CAPA s’engage et affiche son ambition pour le développement du Pays Ajaccien mais ne peut y parvenir seule. Dans un contexte économique contraint, nous avons besoin de rationaliser nos moyens et surtout de créer de nouvelles synergies pour être plus efficace. Ce contrat de ville, si on le souhaite, peut être un exemple d’intelligence collective pour ne pas se satisfaire de discours mais rechercher ensemble les solutions les plus simples qui vont améliorer la qualité de vie de nos concitoyens. »
« C’est l’occasion aujourd’hui de dresser un premier bilan de la mise en œuvre opérationnelle des actions réalisées à ce jour. Avec ce bilan, nous reviendrons sur des éléments stratégiques qi témoignent de l’état d’esprit dans lequel nous avons construit ce contrat de ville et nous poursuivrons sur les perspectives à venir afin de fixer dans les esprits la feuille de route que nous devons partager.
La phase de réflexion est un peu derrière nous, il faut maintenant se consacrer à la réalisation des objectifs que nous nous sommes fixés. Le contrat de ville nous engage collectivement pour une durée de 5 ans. La CAPA s’engage et affiche son ambition pour le développement du Pays Ajaccien mais ne peut y parvenir seule. Dans un contexte économique contraint, nous avons besoin de rationaliser nos moyens et surtout de créer de nouvelles synergies pour être plus efficace. Ce contrat de ville, si on le souhaite, peut être un exemple d’intelligence collective pour ne pas se satisfaire de discours mais rechercher ensemble les solutions les plus simples qui vont améliorer la qualité de vie de nos concitoyens. »