L’arrivée en fin de vie active des générations du baby boom se conjugue avec le vieillissement démographique et constituent un défi pour le renouvellement des populations actives régionales.
En Corse, d’ici 2030, 50 250 personnes pourraient cesser leur activité, soit 40 % des actifs en emploi en 2015.
Malgré une part importante de seniors, la région serait toutefois moins concernée que d’autres, en raison d’un taux d’emploi des 55-70 ans plus faible.
Sur l’île, le secteur administration, enseignement, santé humaine et action sociale serait particulièrement impacté, mais le privé ne serait pas exempt. En particulier, certains secteurs comme le transport-entreposage et l’agriculture et plusieurs métiers (chefs d’entreprises, cadres commerciaux...) ont des taux de retrait supérieurs à la moyenne régionale. Les deux principales zones d’emploi de l’île (Ajaccio et Bastia) connaîtraient les volumes de départs les plus importants, mais le taux de cessation serait plus élevé dans celle de Sartène-Propriano.
En Corse, d’ici 2030, 50 250 personnes pourraient cesser leur activité, soit 40 % des actifs en emploi en 2015.
Malgré une part importante de seniors, la région serait toutefois moins concernée que d’autres, en raison d’un taux d’emploi des 55-70 ans plus faible.
Sur l’île, le secteur administration, enseignement, santé humaine et action sociale serait particulièrement impacté, mais le privé ne serait pas exempt. En particulier, certains secteurs comme le transport-entreposage et l’agriculture et plusieurs métiers (chefs d’entreprises, cadres commerciaux...) ont des taux de retrait supérieurs à la moyenne régionale. Les deux principales zones d’emploi de l’île (Ajaccio et Bastia) connaîtraient les volumes de départs les plus importants, mais le taux de cessation serait plus élevé dans celle de Sartène-Propriano.