Dans le cadre de la nouvelle stratégie nationale de lutte contre le cancer, directrice des missions d’appui à la stratégie plan cancer de l’INCA, Déborah Cvetojevic et Jean-Baptiste Meric, directeur du pôle santé publique et soins, étaient en Corse pour rencontrer les acteurs du territoire impliqués dans la prévention, la prise en charge et l’accompagnement des patients atteint d’un cancer ainsi que leurs aidants.
La rencontre avec l’INCA a été l’occasion d’échanger au regard des organisations insulaires sur les pratiques pour prévenir la maladie en s’interrogeant sur les actions à envisager pour agir sur les facteurs de risque comportementaux et environnementaux, pour améliorer l’adhésion des usagers et des professionnels en santé aux dépistages actuels et pour envisager de nouveaux dépistages pour les pathologies à fort taux d’incidence en région.
Limiter les séquelles et améliorer la qualité de vie en évitant les traitements trop agressifs, la surmédicalisation, en développant les soins de supports et en améliorant l’après-cancer est une âtre préoccupation majeure de l’ARS et de tous les acteurs locaux impliqués.
Lutter contre les cancers de mauvais pronostic en les détectant plus précocement, prendre en compte l’absence de certaines structures et de certaines prises en charge en Corse pour apporter des solutions adaptées au contexte impliquant l’ensemble des acteurs du territoire reste un défi important.
La prise en compte de spécificités insulaires ont été au coeur tde ce travail de réflexion. Une rencontre qui a été riche en perspectives pour l’INCa, dans son objectif de proposer une stratégie en cohérence avec notre réalité territoriale.
La rencontre avec l’INCA a été l’occasion d’échanger au regard des organisations insulaires sur les pratiques pour prévenir la maladie en s’interrogeant sur les actions à envisager pour agir sur les facteurs de risque comportementaux et environnementaux, pour améliorer l’adhésion des usagers et des professionnels en santé aux dépistages actuels et pour envisager de nouveaux dépistages pour les pathologies à fort taux d’incidence en région.
Limiter les séquelles et améliorer la qualité de vie en évitant les traitements trop agressifs, la surmédicalisation, en développant les soins de supports et en améliorant l’après-cancer est une âtre préoccupation majeure de l’ARS et de tous les acteurs locaux impliqués.
Lutter contre les cancers de mauvais pronostic en les détectant plus précocement, prendre en compte l’absence de certaines structures et de certaines prises en charge en Corse pour apporter des solutions adaptées au contexte impliquant l’ensemble des acteurs du territoire reste un défi important.
La prise en compte de spécificités insulaires ont été au coeur tde ce travail de réflexion. Une rencontre qui a été riche en perspectives pour l’INCa, dans son objectif de proposer une stratégie en cohérence avec notre réalité territoriale.