Ce deuxième séminaire (le premier eut lieu en 2018) de rencontre entre les acteurs de l’apiculture en Corse permet à ces derniers de mettre en perspective leurs activités, leurs pratiques et à long terme, l’avenir de la filière.
La journée fut rythmée par les interventions de nombreux spécialistes qui ont abordé des sujets variés dont l'intérêt n'a pas échappé aux nombreux apiculteurs présents ce mardi à Corte.
Le séminaire a ainsi été l’occasion de réfléchir aux problématiques comme “La qualité des cires : comment s’en assurer", “Surmortalité des abeilles : conséquences de multiples facteurs et de leurs interactions”, "Quelles capacités d’adaptation de l’abeille domestique dans un milieu en pleine évolution ? Rôle de la diversité génétique”, Comment la mesure Varroa Phorétique (VP) pour 100 abeilles peut-elle aider à être plus performants dans leur lutte contre varroa ?” et "Les milieux ressources de l’abeille : comment les préserver ?” développés lors d'une table ronde.
La constatation générale depuis plusieurs années porte sur la hausse des mortalités des abeilles qui inquiète, au plus haut point, les apiculteurs.
D’autant plus que cela à un coût sur la production du miel qui diminue.
En cause, les produits chimiques comme les pesticides ainsi qu’un parasite, la Nosema* qui provoque une dysenterie des abeilles.
La Corse, par sa géographie, son climat et son relief, possède pourtant des caractéristiques favorables à l’apiculture, notamment grâce à une grande biodiversité végétale.
Et cela ne date pas d'aujourd'hui.
L’abeille corse, nommée Apis corsica, produit un miel réputé qui remporta la « Grande médaille d’or » à l’exposition Universelle de Londres en 1862…
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*Nosema ceranae est une espèce de champignons microscopiques unicellulaires parasites d'origine asiatique, susceptible de provoquer des infections fongiques (dites nosémoses) chez certaines espèces d'insectes, dont l'abeille.
La journée fut rythmée par les interventions de nombreux spécialistes qui ont abordé des sujets variés dont l'intérêt n'a pas échappé aux nombreux apiculteurs présents ce mardi à Corte.
Le séminaire a ainsi été l’occasion de réfléchir aux problématiques comme “La qualité des cires : comment s’en assurer", “Surmortalité des abeilles : conséquences de multiples facteurs et de leurs interactions”, "Quelles capacités d’adaptation de l’abeille domestique dans un milieu en pleine évolution ? Rôle de la diversité génétique”, Comment la mesure Varroa Phorétique (VP) pour 100 abeilles peut-elle aider à être plus performants dans leur lutte contre varroa ?” et "Les milieux ressources de l’abeille : comment les préserver ?” développés lors d'une table ronde.
La constatation générale depuis plusieurs années porte sur la hausse des mortalités des abeilles qui inquiète, au plus haut point, les apiculteurs.
D’autant plus que cela à un coût sur la production du miel qui diminue.
En cause, les produits chimiques comme les pesticides ainsi qu’un parasite, la Nosema* qui provoque une dysenterie des abeilles.
La Corse, par sa géographie, son climat et son relief, possède pourtant des caractéristiques favorables à l’apiculture, notamment grâce à une grande biodiversité végétale.
Et cela ne date pas d'aujourd'hui.
L’abeille corse, nommée Apis corsica, produit un miel réputé qui remporta la « Grande médaille d’or » à l’exposition Universelle de Londres en 1862…
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*Nosema ceranae est une espèce de champignons microscopiques unicellulaires parasites d'origine asiatique, susceptible de provoquer des infections fongiques (dites nosémoses) chez certaines espèces d'insectes, dont l'abeille.