Au moment où nous assistons à une expansion généralisée des mafias en Europe, que les phénomènes de corruption se répandent, y compris au plus haut niveau politique, que des journalistes, des avocats, des témoins sont assassinés : Malte, République Tchèque, Pays-Bas, Belgique, Italie...
que des ministres, des représentants politiques, des avocats sont menacés de mort.
Au moment où les plus importants magistrats de la lutte anti-mafia italiens réclamentune harmonisation des lois et des moyens de l’anti-mafia pour les 22 pays de l’Union Européenne.
Qu’en Corse deux collectifs, tout comme les magistrats des juridictions spécialisées, réclament des moyens juridiques adaptés pour la lutte contre la mafia.
Le gouvernement propose une loi de modification d’organisation de la police qui va entraver et même empêcher les enquêtes sur le crime organisé et la corruption.
La quasi-unanimité des professionnels de la lutte contre le crime organisé (des
policiers aux magistrats et à de nombreux avocats) s’alarme de cet affaiblissement des structures engagées contre les mafias.
Seules les mafias s’en réjouissent.
Parallèlement l’article 60 du code des douanes (L’article 60 du code des douanes français prévoit que :
"Pour l’application des dispositions du présent code et en vue de la recherche de la fraude, les agents des douanes peuvent procéder à la visite des marchandises et des moyens de transport et à celle des personnes" sera abrogé d’ici 1 an. Ce qui signifie qu’on enlève un moyen d’investigation et d’intervention fondamental (trafics de drogues, marchandises, armes, argent...) à la puissance publique.
Au bout du compte c’est la société civile qu’on désarme alors que le péril est dans la place.
Curieusement, le nouveau gouvernement italien prévoit également d’affaiblir les lois et les moyens de l’anti-mafia.
Quelque chose de mauvais se passe en Europe, et sans une convergence des
protestations et des actions des citoyens, envers leurs élus et leurs autorités, nous allons entrer dans une période très sombre.
La Corse a aussi un rôle important à jouer car elle a été à l’initiative des premiers mouvements de citoyens à s’opposer à la mafia.
que des ministres, des représentants politiques, des avocats sont menacés de mort.
Au moment où les plus importants magistrats de la lutte anti-mafia italiens réclamentune harmonisation des lois et des moyens de l’anti-mafia pour les 22 pays de l’Union Européenne.
Qu’en Corse deux collectifs, tout comme les magistrats des juridictions spécialisées, réclament des moyens juridiques adaptés pour la lutte contre la mafia.
Le gouvernement propose une loi de modification d’organisation de la police qui va entraver et même empêcher les enquêtes sur le crime organisé et la corruption.
La quasi-unanimité des professionnels de la lutte contre le crime organisé (des
policiers aux magistrats et à de nombreux avocats) s’alarme de cet affaiblissement des structures engagées contre les mafias.
Seules les mafias s’en réjouissent.
Parallèlement l’article 60 du code des douanes (L’article 60 du code des douanes français prévoit que :
"Pour l’application des dispositions du présent code et en vue de la recherche de la fraude, les agents des douanes peuvent procéder à la visite des marchandises et des moyens de transport et à celle des personnes" sera abrogé d’ici 1 an. Ce qui signifie qu’on enlève un moyen d’investigation et d’intervention fondamental (trafics de drogues, marchandises, armes, argent...) à la puissance publique.
Au bout du compte c’est la société civile qu’on désarme alors que le péril est dans la place.
Curieusement, le nouveau gouvernement italien prévoit également d’affaiblir les lois et les moyens de l’anti-mafia.
Quelque chose de mauvais se passe en Europe, et sans une convergence des
protestations et des actions des citoyens, envers leurs élus et leurs autorités, nous allons entrer dans une période très sombre.
La Corse a aussi un rôle important à jouer car elle a été à l’initiative des premiers mouvements de citoyens à s’opposer à la mafia.