Herbert Biggs devant le monument aux mort place du Diamant Photo MJT
Herbert Biggs, est né le 6 juin 1923 en Australie. Il intègre l’armée de l’air royale australienne en 1942. Membre d’équipage de l’escadron 451 Spitfire basé en Corse à partir de 1944, il contribue aux nombreuses missions en Europe.
Il fait preuve tout au long de ses services militaires d’une qualité exceptionnelle et d’un engagement sans faille pour la libération de la France au sein des forces alliées. Il est décoré en 2016 au grade de Chevalier dans la Légion d’Honneur par Christophe Lecourtier, ambassadeur de France en Australie. « Un militaire d’une qualité exceptionnelle et d’un engagement sans faille pour la libération de la France au sein des forces alliées » soulignera Jacques Vergellati directeur de l’ONACVG, dans son allocution.
Cette année, Herbert Biggs, a décidé de participer à la cérémonie ajaccienne. Il n’est pas revenu sur cette terre corse depuis qu’il l’a quitté à la fin de la guerre. Un pèlerinage pour ce vétéran qui dit n’avoir oublié ni cette île, ni ce morceau d’histoire tragique qu’il y a vécu avec ses compagnons d’armes.
A Serraggia, Poretta puis Calvi où il prépare à 23 ans avec l’escadron Spitfire Fighter l’avancement des troupes alliées, notamment dans le sud de la France, dès le 18 avril 1944. Il y a perdu ses camarades.
Enterrés au cimetière de Biguglia il ira leur rendre hommage avant de quitter l’île.
Il fait preuve tout au long de ses services militaires d’une qualité exceptionnelle et d’un engagement sans faille pour la libération de la France au sein des forces alliées. Il est décoré en 2016 au grade de Chevalier dans la Légion d’Honneur par Christophe Lecourtier, ambassadeur de France en Australie. « Un militaire d’une qualité exceptionnelle et d’un engagement sans faille pour la libération de la France au sein des forces alliées » soulignera Jacques Vergellati directeur de l’ONACVG, dans son allocution.
Cette année, Herbert Biggs, a décidé de participer à la cérémonie ajaccienne. Il n’est pas revenu sur cette terre corse depuis qu’il l’a quitté à la fin de la guerre. Un pèlerinage pour ce vétéran qui dit n’avoir oublié ni cette île, ni ce morceau d’histoire tragique qu’il y a vécu avec ses compagnons d’armes.
A Serraggia, Poretta puis Calvi où il prépare à 23 ans avec l’escadron Spitfire Fighter l’avancement des troupes alliées, notamment dans le sud de la France, dès le 18 avril 1944. Il y a perdu ses camarades.
Enterrés au cimetière de Biguglia il ira leur rendre hommage avant de quitter l’île.