- Que traitez-vous comme déchets ?
- Uniquement des déchets non dangereux et la majorité des déchets que l'on peut trouver dans une recyclerie : du tout-venant, des canapés, des tuyaux en plastique.On traite également les déchets d'éléments d'ameublement (matelas, mobilier de jardin en plastique ou en fer, des déchets EEE (éléments, électroniques et électriques), frigidaires, machines à laver, écrans de télévision. Des emballages que l'ont place dans les bacs jaunes, des cartons, du papier, des déchets verres, du bois, du fer. En fait nous traitons une palette de déchets non dangereux très large.
- Quelle est leur importance ?
- On peut estimer que près de 40 000 tonnes de déchets transitent chez nous.
- Les méthodes que vous utilisez pour trier ces déchets ?
- Il y a d'abord une grande part d'humain avec une soixantaine de personnes sur le site. Nous avons aussi beaucoup de matériel de pelles et mini-pelles mécaniques munies d'une pince pour trier. Mais les machines ne font pas tout. Il y a aussi des trieurs manuels qui affinent le premier tri effectué par les machines. Il y a encore les tables de tri et tout le matériel automatisé, indispensable, pour faire tourner ce site que le public a pu découvrir à la faveur de cette visite.
- Que faites vous des déchets triés ?
- Ils sont dirigés sur le recyclage. Ici nous privilégions le recyclage et la valorisation. Recyclage pour donner une seconde vie aux déchets et si elle n'est pas possible nous optons pour la valorisation pour qu'il y ait une production électrique ou thermique derrière.
- Quelle destination prennent, par exemple, les emballages plastiques ?
- Une fois triés nous les envoyons directement chez les recycleurs qui eux vont refaire du plastique avec ce que nous leur avons envoyé.
- L'importance d'un bon tri ?
- Nous nous devons d'avoir en bout de chaîne à minima 98% de pureté par fût que nous sortons. L'erreur de tri coûte effectivement plus cher que la bonne attribution. Mais l'erreur de tri coûte cher parce qu'Il y a coût de tri et un coût de retraitement derrière. Nous sommes là uniquement pour le tri, après la matière ne nous appartient plus. Elle est au repreneur qui vient la chercher. Après,c'est une histoire entre la collectivité et le repreneur qui va donner une une deuxième vie à la matière à partir de son recyclage.
- Pas de bouteille en plastique donc dans un conteneur destiné au verre ?
- Le plastique qui arrive dans un tel compartiment risque d'être pollué par des débris de verre. Du coup, les recycleurs ne peuvent plus le recycler. La matière va, dès lors, finir dans un enfouissement alors qu'elle aurait pu être recyclée. Il faut, on ne le répètera jamais assez, attentif au geste de tri et et il faut y croire. C'est ce que nous avons voulu démontrer aujourd'hui.
- Tout cela assure la rentabilité du site ?
- Oui dans la mesure où nous avons réussi à faire des investissements progressifs et réguliers. Nous ne sommes pas sur des chiffres qui sont mirobolants, mais cela nous permet d'assurer notre prestation et d'avoir le matériel pour absorber un surplus de tri.
- Quelle est leur importance ?
- On peut estimer que près de 40 000 tonnes de déchets transitent chez nous.
- Les méthodes que vous utilisez pour trier ces déchets ?
- Il y a d'abord une grande part d'humain avec une soixantaine de personnes sur le site. Nous avons aussi beaucoup de matériel de pelles et mini-pelles mécaniques munies d'une pince pour trier. Mais les machines ne font pas tout. Il y a aussi des trieurs manuels qui affinent le premier tri effectué par les machines. Il y a encore les tables de tri et tout le matériel automatisé, indispensable, pour faire tourner ce site que le public a pu découvrir à la faveur de cette visite.
- Que faites vous des déchets triés ?
- Ils sont dirigés sur le recyclage. Ici nous privilégions le recyclage et la valorisation. Recyclage pour donner une seconde vie aux déchets et si elle n'est pas possible nous optons pour la valorisation pour qu'il y ait une production électrique ou thermique derrière.
- Quelle destination prennent, par exemple, les emballages plastiques ?
- Une fois triés nous les envoyons directement chez les recycleurs qui eux vont refaire du plastique avec ce que nous leur avons envoyé.
- L'importance d'un bon tri ?
- Nous nous devons d'avoir en bout de chaîne à minima 98% de pureté par fût que nous sortons. L'erreur de tri coûte effectivement plus cher que la bonne attribution. Mais l'erreur de tri coûte cher parce qu'Il y a coût de tri et un coût de retraitement derrière. Nous sommes là uniquement pour le tri, après la matière ne nous appartient plus. Elle est au repreneur qui vient la chercher. Après,c'est une histoire entre la collectivité et le repreneur qui va donner une une deuxième vie à la matière à partir de son recyclage.
- Pas de bouteille en plastique donc dans un conteneur destiné au verre ?
- Le plastique qui arrive dans un tel compartiment risque d'être pollué par des débris de verre. Du coup, les recycleurs ne peuvent plus le recycler. La matière va, dès lors, finir dans un enfouissement alors qu'elle aurait pu être recyclée. Il faut, on ne le répètera jamais assez, attentif au geste de tri et et il faut y croire. C'est ce que nous avons voulu démontrer aujourd'hui.
- Tout cela assure la rentabilité du site ?
- Oui dans la mesure où nous avons réussi à faire des investissements progressifs et réguliers. Nous ne sommes pas sur des chiffres qui sont mirobolants, mais cela nous permet d'assurer notre prestation et d'avoir le matériel pour absorber un surplus de tri.
Le calendrier des prochaines visites
La CAB rappelle le calendrier des prochaines visites du site de Biguglia
- Jeudi 11 février de 9 à 11heures
- Vendredi 11 mars de 9 à 11 heures,
- Jeudi 14 avril de 9 à 11 heures
- Vendredi 13 mai de 9 à 11 heures
- Vendredi 17 juin de 9 à 11 heures.
Nous vous invitons à nous communiquer la date de la visite à laquelle vous souhaitez participer par mail à l’adresse suivante : communication@agglo-bastia.fr, ou par téléphone au 06 15 14 46 13.
Afin de vous y rendre facilement, les trajets seront organisés en navette au départ du bas de la Place Saint-Nicolas (devant l’office de Tourisme), à 8h30 avant chaque visite. Le trajet de retour à Bastia sera également assuré en navette.