Marie-Hélène Djivas : "Simplifier la vie du demandeur d'emploi en situation sociale fragile"
- L'objet de cette convention ?
- L'idée c'est de simplifier la vie du demandeur d'emploi en situation sociale fragile en lui évitant les écueils et les méandres administratifs qui le renvoient de bureau en bureau, sans qu'on sache forcément comment faire pour optimiser sa situation. Les personnels de Pôle emploi et les équipes du département sont désormais en partenariat constant, avec une grille de critères communs pour pouvoir orienter les demandeurs d'emploi en fonction de leurs difficultés sociales et chacun restant dans ses prérogatives, le social pour le Département et l'accompagnement à l'emploi pour Pôle emploi, nous essayerons de rendre la vie des publics les plus fragiles plus facile.
- Pôle emploi sera donc le donneur d'alerte ?
- Il y a trois niveaux d'accompagnement social en fonction de la situation identifiée par Pôle emploi, qui sont la "porte d'entrée" dans le dispositif pour le demandeur d'emploi. Le niveau 1 où Pôle emploi arrive à orienter lui-même le demandeur d'emploi vers les bons dispositifs, à partir des connaissances et des passerelles que l'on a développé et au moyen d'un agenda social, renvoyant le demandeur vers les bons correspondants; Le niveau 2 identifie une situation plus complexe, dès lors le demandeur est orienté vers le conseil général et au niveau 3 Pôle emploi "passe la main" au Département puisqu'il faut avant de revenir à l'emploi résoudre une situation sociale difficile. Et c'est à nouveau sur des bases communes que l'on pourra travailler.
- Le but c'est de réduire au plus vite les difficultés administratives ?
- Simplification, modernisation, accessibilité pour les demandeurs d'emploi, lisibilité des actions des différentes administrations : c'est le but à atteindre pour permettre aux demandeurs d'emploi y compris pour les publics les plus fragiles d'y voir plus clair. Ce n'est pas audible pour eux d'être renvoyés de bureau en bureau. Raccourcir les délais et optimiser notre efficacité : c'est vers quoi vont tendre désormais tous nos efforts.
- L'idée c'est de simplifier la vie du demandeur d'emploi en situation sociale fragile en lui évitant les écueils et les méandres administratifs qui le renvoient de bureau en bureau, sans qu'on sache forcément comment faire pour optimiser sa situation. Les personnels de Pôle emploi et les équipes du département sont désormais en partenariat constant, avec une grille de critères communs pour pouvoir orienter les demandeurs d'emploi en fonction de leurs difficultés sociales et chacun restant dans ses prérogatives, le social pour le Département et l'accompagnement à l'emploi pour Pôle emploi, nous essayerons de rendre la vie des publics les plus fragiles plus facile.
- Pôle emploi sera donc le donneur d'alerte ?
- Il y a trois niveaux d'accompagnement social en fonction de la situation identifiée par Pôle emploi, qui sont la "porte d'entrée" dans le dispositif pour le demandeur d'emploi. Le niveau 1 où Pôle emploi arrive à orienter lui-même le demandeur d'emploi vers les bons dispositifs, à partir des connaissances et des passerelles que l'on a développé et au moyen d'un agenda social, renvoyant le demandeur vers les bons correspondants; Le niveau 2 identifie une situation plus complexe, dès lors le demandeur est orienté vers le conseil général et au niveau 3 Pôle emploi "passe la main" au Département puisqu'il faut avant de revenir à l'emploi résoudre une situation sociale difficile. Et c'est à nouveau sur des bases communes que l'on pourra travailler.
- Le but c'est de réduire au plus vite les difficultés administratives ?
- Simplification, modernisation, accessibilité pour les demandeurs d'emploi, lisibilité des actions des différentes administrations : c'est le but à atteindre pour permettre aux demandeurs d'emploi y compris pour les publics les plus fragiles d'y voir plus clair. Ce n'est pas audible pour eux d'être renvoyés de bureau en bureau. Raccourcir les délais et optimiser notre efficacité : c'est vers quoi vont tendre désormais tous nos efforts.
Pierre Peladan :" Mettre le demandeur d'emploi dans les meilleures dispositions"
- En mutualisant vos moyens avec le Département le but est d'être plus réactif ?
- L'objectif est, en effet, d'être réactif par rapport à une problématique donnée. Souvent un demandeur d'emploi, en recherche d'emploi, est confronté a des problématiques sociales qui freinent son retour dans le monde du travail, qu'il faut obligatoirement résoudre afin de lui permettre d'être complètement et à 100% en mesure de se mettre la recherche d'un emploi
- Pôle emploi est le premier maillon de la chaîne dans ce dispositif ?
- Lorsque un demandeur d'emploi vient s'inscrire, nous menons un travail avec lui. Nos conseillers identifient à ce moment-là si le demandeur est confronté à des problématiques sociales environnantes. A partir de là, on prend en compte leur importance pour l'orienter soit vers le service approprié soit vers le conseil général pour résoudre les problèmes auquel il est confronté et ainsi pouvoir véritablement l'accompagner dans sa recherche d'emploi.
- C'est un nouveau pas vers plus d'efficacité ?
- Nous ne partons pas de zéro. Nous avions, déjà, une convention avec le conseil général. Aujourd'hui la complémentarité va être plus grande encore pour être plus réactif car, il faut traiter le plus rapidement possible la problématique sociale pour pouvoir mettre le demandeur en quête d'emploi dans les meilleures dispositions pour le faire.
- L'objectif est, en effet, d'être réactif par rapport à une problématique donnée. Souvent un demandeur d'emploi, en recherche d'emploi, est confronté a des problématiques sociales qui freinent son retour dans le monde du travail, qu'il faut obligatoirement résoudre afin de lui permettre d'être complètement et à 100% en mesure de se mettre la recherche d'un emploi
- Pôle emploi est le premier maillon de la chaîne dans ce dispositif ?
- Lorsque un demandeur d'emploi vient s'inscrire, nous menons un travail avec lui. Nos conseillers identifient à ce moment-là si le demandeur est confronté à des problématiques sociales environnantes. A partir de là, on prend en compte leur importance pour l'orienter soit vers le service approprié soit vers le conseil général pour résoudre les problèmes auquel il est confronté et ainsi pouvoir véritablement l'accompagner dans sa recherche d'emploi.
- C'est un nouveau pas vers plus d'efficacité ?
- Nous ne partons pas de zéro. Nous avions, déjà, une convention avec le conseil général. Aujourd'hui la complémentarité va être plus grande encore pour être plus réactif car, il faut traiter le plus rapidement possible la problématique sociale pour pouvoir mettre le demandeur en quête d'emploi dans les meilleures dispositions pour le faire.