Une enquête a été ouverte ce vendredi 19 mai par le parquet de Bastia après l’incendie de « deux engins mécaniques » à Pietracorbara, le jour-même, aux alentours de deux heures du matin. Ces pelles de chantier étaient stationnées sur l’arrière plage de la commune, centre d’une polémique née en début de semaine.
En effet, mardi 16 mai, le biologiste Michel-Jean Delaugerre avait sonné l’alerte sur les réseaux sociaux, indiquant que la « destruction » de cette « zone humide » était en cours, à cause de travaux initiés « sans aucune autorisation et en dépit des interventions des autorités ». Le tout, dans le but d’en faire un « parking payant ».
« Ces travaux sont réalisés sans autorisation. Ils sont illégaux car ils concernent une zone humide d’intérêt patrimonial qui abrite des espères végétales et animales fragiles et protégées par des arrêtés ministériels », précisait de son côté dans un communiqué officiel l’association Ecologia Sulidaria.
Le parquet de Bastia, saisi anonymement, avait ouvert une enquête dans la foulée et sommé le mis en cause présumé « de cesser les travaux litigieux ». Michel Delaugerre, particulièrement investi dans ce dossier, indique également que « des tentatives pour détruire cette zone se sont multipliées au cours des dernières années ».
En effet, mardi 16 mai, le biologiste Michel-Jean Delaugerre avait sonné l’alerte sur les réseaux sociaux, indiquant que la « destruction » de cette « zone humide » était en cours, à cause de travaux initiés « sans aucune autorisation et en dépit des interventions des autorités ». Le tout, dans le but d’en faire un « parking payant ».
« Ces travaux sont réalisés sans autorisation. Ils sont illégaux car ils concernent une zone humide d’intérêt patrimonial qui abrite des espères végétales et animales fragiles et protégées par des arrêtés ministériels », précisait de son côté dans un communiqué officiel l’association Ecologia Sulidaria.
Le parquet de Bastia, saisi anonymement, avait ouvert une enquête dans la foulée et sommé le mis en cause présumé « de cesser les travaux litigieux ». Michel Delaugerre, particulièrement investi dans ce dossier, indique également que « des tentatives pour détruire cette zone se sont multipliées au cours des dernières années ».