Le ministre Laurent Marcangeli a adressé un message d’unité et d’espoir. « J’adresse à tous mes meilleurs vœux pour 2025. La France est un grand pays, porté par des millions de nos concitoyens qui ne ménagent pas leurs efforts. Je nous souhaite, en cette nouvelle année, de nous retrouver pour avancer ensemble. »
J’adresse à tous mes meilleurs vœux pour 2025.
La France est un grand pays, porté par des millions de nos concitoyens qui ne ménagent pas leurs efforts. Je nous souhaite, en cette nouvelle année, de nous retrouver pour avancer ensemble.
— Laurent Marcangeli (@LMarcangeli) January 1, 2025
À Bastia, Jean Zuccarelli, porte-parole du Parti Radical, a souligné l’urgence d’agir face aux défis locaux. « Le port de Bastia, vital pour notre île, est directement menacé par l’inaction. Ce chantier doit être engagé sans délai. » Tout en appelant à l’apaisement, il a réaffirmé son attachement à une Corse ancrée dans la République : « Nous voulons un cadre qui réponde à l’exigence d’efficacité, sans céder à des aspirations inadaptées. »
Paul-André Colombani, député de la deuxième circonscription de Corse-du-Sud, a adressé ses vœux avec un message tourné vers la sérénité et l’unité, tout en évoquant les récents événements marquants : « Aghju una pinsata particulari pà i famiglii è l’amichi tocchi da l’assassiniu di u ghjovanu Pierre-Louis Giorgi in Aiacciu, à dui ghjorni di Natale. » Il a exprimé son souhait d’un avenir apaisé pour l’île : « Pà u 2025, auguru un avvena più serenu pà a Corsica è un unità maiò pà tuttu u nosciu populu. Bon dì, bon annu, bon capudannu, paci è saluta pà tuttu l’annu ! »
Jean-Martin Mondoloni, conseiller à l’Assemblée de Corse, a formulé le vœu d’une île apaisée et résolument tournée vers l’avenir. « La Corse doit savoir tourner le dos à toutes les formes de violence pour construire un avenir pour sa jeunesse. » Pour lui, 2025 sera une année charnière : « Notre île est confrontée à des défis d’envergure qui exigent des décisions responsables et pragmatiques. »
Michel Stefani, secrétaire régional du Parti Communiste, a marqué ses vœux par un appel à « construire l’unité populaire » face aux crises sociales, écologiques et politiques. « 2024 aura été une année de turbulences et de bouleversements, révélatrice de la crise politique profonde d’un second quinquennat Macron favorable aux plus riches et rendant la vie des plus modestes impossible. » Il a dénoncé les inégalités et la précarité qui frappent la Corse, attribuant ces difficultés à une « domination économique et sociale exercée par le Consortium des patrons corses. »
Pour Michel Stefani, il est urgent d'agir sur des enjeux concrets : « Promouvoir les services publics, construire des logements sociaux, augmenter les salaires : tout cela est possible sans changer de statut institutionnel. » Réaffirmant son opposition à « l’autonomie libérale », il a appelé à une transformation démocratique et écologique : « Nous devons donner un sens à la contestation populaire pour changer de politique et de système dans un processus démocratique. »