C'était trop beau !
Depuis le 16 mars dernier, date du confinement, nos boulevards et avenues ont connu un arrêt brusque de la circulation "et de fait des bruits qui nous turlupinent à longueur d'année. Dans certains quartiers, on vivait carrément avec le chant des oiseaux et le silence. Troublant certes, mais combien réparateur. Cela dure depuis des semaines et personne ne s'en plaint. Campazione!
Mais chassez le naturel etc... etc...Les revoilà les malades du bruits, les barons de l'accélération qui, confinement ou pas, sortent leurs machines et nous gratifient d'accélérations prolongées dans un fracas indescriptible.
A Ajaccio, on les appelle "i vittiloni" les malades de l'échappement, "i caiorni qui doivent certainement tirer une jouissance de leur deux roues doté d'un échappement pas comme les autres. A spaccata aiaccina !
Alors, ils en profitent et le font savoir à travers les rues de la ville. Ils nous gonflent et gonflent les autres ajacciens qui se foutent complètement de leur' échappement.
On imagine la joie des riverains confinés depuis deux mois dans leurs cabanes, les passages répétés de nos essayeurs;
L'ancienne préfète de la Corse l'avait remarqué et entendait mettre un terme à cette fracassante mode. Elle nous l'avait promis.
Puis elle est partie. Comme les autres !
Pourra-t-on compter sur on successeur pour tenter quelque opération de sensibilisation au bruit?
Mieux vaut le prévenir, il aura du pain sur la planche avec les faussaires du bruit qui sont légion à Ajaccio;
A moins qu'il n'y ait plus de matériel adéquat comme l'avait dit cette commandante de police peu inspirée…
On se passerait volontiers de cette pollution sonore qui s'ajoute aux bruits de la ville. Un chantier, assurément!
Merci Monsieur le préfet de la Corse de veiller à ce problème. Il y en a tellement…
Paba !
Depuis le 16 mars dernier, date du confinement, nos boulevards et avenues ont connu un arrêt brusque de la circulation "et de fait des bruits qui nous turlupinent à longueur d'année. Dans certains quartiers, on vivait carrément avec le chant des oiseaux et le silence. Troublant certes, mais combien réparateur. Cela dure depuis des semaines et personne ne s'en plaint. Campazione!
Mais chassez le naturel etc... etc...Les revoilà les malades du bruits, les barons de l'accélération qui, confinement ou pas, sortent leurs machines et nous gratifient d'accélérations prolongées dans un fracas indescriptible.
A Ajaccio, on les appelle "i vittiloni" les malades de l'échappement, "i caiorni qui doivent certainement tirer une jouissance de leur deux roues doté d'un échappement pas comme les autres. A spaccata aiaccina !
Alors, ils en profitent et le font savoir à travers les rues de la ville. Ils nous gonflent et gonflent les autres ajacciens qui se foutent complètement de leur' échappement.
On imagine la joie des riverains confinés depuis deux mois dans leurs cabanes, les passages répétés de nos essayeurs;
L'ancienne préfète de la Corse l'avait remarqué et entendait mettre un terme à cette fracassante mode. Elle nous l'avait promis.
Puis elle est partie. Comme les autres !
Pourra-t-on compter sur on successeur pour tenter quelque opération de sensibilisation au bruit?
Mieux vaut le prévenir, il aura du pain sur la planche avec les faussaires du bruit qui sont légion à Ajaccio;
A moins qu'il n'y ait plus de matériel adéquat comme l'avait dit cette commandante de police peu inspirée…
On se passerait volontiers de cette pollution sonore qui s'ajoute aux bruits de la ville. Un chantier, assurément!
Merci Monsieur le préfet de la Corse de veiller à ce problème. Il y en a tellement…
Paba !