Meurtre ou assassinat ?
La préméditation a finalement été retenue. David Salvarelli, 40 ans, qui depuis jeudi soir était entendu dans les locaux de la SR de Borgo, a été présenté, comme prévu, ce samedi devant un juge d'instruction bastiais. Au terme de son audition il a été mis en examen pour "assassinat" et placé en détention à Borgo.
L'information judiciaire devra à présent essayer d'établir par quel cheminement, l'auteur présumé du double coup de fusil, a pu, ainsi, ôter la vie à un paisible touriste amoureux de la Corse.
La veille Nicolas Bessone, le procureur de la République de Bastia, affirmait que cet acte ne correspondait à "aucun mobile rationne"l. Pour lui, Antoine Goret, 57 ans, et son épouse se sont trouvés "au mauvais endroit au mauvais moment", victime, sans doute, des effets d'un traitement que le tireur présumé disait avoir mal supporté.
A l'heure de son interpellation un examen psychiatrique aurait permis de déterminer que sa responsabilité était "altérée mais pas abolie". L'homme aurait déclaré avoir voulu faire du mal et avoir vu le Diable et en le voyant il aurait tiré sur la première personne rencontrée, en l'occurrence Antoine Goret.
La préméditation a finalement été retenue. David Salvarelli, 40 ans, qui depuis jeudi soir était entendu dans les locaux de la SR de Borgo, a été présenté, comme prévu, ce samedi devant un juge d'instruction bastiais. Au terme de son audition il a été mis en examen pour "assassinat" et placé en détention à Borgo.
L'information judiciaire devra à présent essayer d'établir par quel cheminement, l'auteur présumé du double coup de fusil, a pu, ainsi, ôter la vie à un paisible touriste amoureux de la Corse.
La veille Nicolas Bessone, le procureur de la République de Bastia, affirmait que cet acte ne correspondait à "aucun mobile rationne"l. Pour lui, Antoine Goret, 57 ans, et son épouse se sont trouvés "au mauvais endroit au mauvais moment", victime, sans doute, des effets d'un traitement que le tireur présumé disait avoir mal supporté.
A l'heure de son interpellation un examen psychiatrique aurait permis de déterminer que sa responsabilité était "altérée mais pas abolie". L'homme aurait déclaré avoir voulu faire du mal et avoir vu le Diable et en le voyant il aurait tiré sur la première personne rencontrée, en l'occurrence Antoine Goret.