En tout cas l'objectif fixé par la directrice de l'établissement Marie-Louise Casanova, et l'équipe pédagogique, a été atteint : le 8 Décembre, que l'on veut perpétuer à Miomo, a été fêté par les enseignants, les élèves et leurs parents.
Les enseignants ont en amont de ce pranzu nustrale (pulenda, figatellu, brocciu, fromage frais et fiadone) ont sensibilisé, au sein d'un établissement qui n'est pas bilingue, leurs élèves au Corse. Et aux chants corses. Dans le même temps ils les les amenaient à l'Université de Corse à la découverte de l'exposition consacrée à "L'arbre à pain".
Ils les ont, encore, intéressés à la châtaigne, du fruit à sa transformation en farine.
Ils auraient pu faire encore plus si I ghjogi di sensi qui devaient être livrés à tous les enfants pour ce 8 Décembre n'avaient pas été bloqués à Marseille par la grève de la SNCM.
Pas de Ghjogi di sensi donc, mais ce n'est pas pour autant que le projet est tombé à l'eau.
Enseignants, parents et enfants n'ont eu de cesse de le peaufiner sous l'impulsion de Marie-Louise Casanova, nous l'avons dit, et Michelle Maestracci.
Ce mardi 8 Décembre auquel, au-delà de l'histoire de la Corse, ils ont voulu donner une autre forme, s'est concrétisé de très belle façon.
La salle des fêtes de la commune s'est avérée exigüe à l'occasion du repas qui a rassemblé plusieurs centaines de convives pour lesquelles le restaurant Ampugnani a utilisé 21 kilos de farine de châtaigne pour la pulenda, Marc Ventura cuit 170 figatelli de Patrice Pieri, procuré le brocciu Aop de la fromagerie Germain, le fromage frais… Un pur régal !
Mais la fête fut surtout celle offerte par les élèves de l'école primaire.
Sur scène, face à un public tout acquis à leur cause, ils ont successivement interprété Libertà, Mi ne vocu, Bianchina, O cari (notre vidéo)
Est-il besoin de le préciser ? Ils ont fait l'unanimité !
Les enseignants ont en amont de ce pranzu nustrale (pulenda, figatellu, brocciu, fromage frais et fiadone) ont sensibilisé, au sein d'un établissement qui n'est pas bilingue, leurs élèves au Corse. Et aux chants corses. Dans le même temps ils les les amenaient à l'Université de Corse à la découverte de l'exposition consacrée à "L'arbre à pain".
Ils les ont, encore, intéressés à la châtaigne, du fruit à sa transformation en farine.
Ils auraient pu faire encore plus si I ghjogi di sensi qui devaient être livrés à tous les enfants pour ce 8 Décembre n'avaient pas été bloqués à Marseille par la grève de la SNCM.
Pas de Ghjogi di sensi donc, mais ce n'est pas pour autant que le projet est tombé à l'eau.
Enseignants, parents et enfants n'ont eu de cesse de le peaufiner sous l'impulsion de Marie-Louise Casanova, nous l'avons dit, et Michelle Maestracci.
Ce mardi 8 Décembre auquel, au-delà de l'histoire de la Corse, ils ont voulu donner une autre forme, s'est concrétisé de très belle façon.
La salle des fêtes de la commune s'est avérée exigüe à l'occasion du repas qui a rassemblé plusieurs centaines de convives pour lesquelles le restaurant Ampugnani a utilisé 21 kilos de farine de châtaigne pour la pulenda, Marc Ventura cuit 170 figatelli de Patrice Pieri, procuré le brocciu Aop de la fromagerie Germain, le fromage frais… Un pur régal !
Mais la fête fut surtout celle offerte par les élèves de l'école primaire.
Sur scène, face à un public tout acquis à leur cause, ils ont successivement interprété Libertà, Mi ne vocu, Bianchina, O cari (notre vidéo)
Est-il besoin de le préciser ? Ils ont fait l'unanimité !