Christian Andreani est un habitué de la foire de la Gravona. Loin d’y venir en touriste ou « se montrer », cet Ulmisgianu qui vit depuis des années à Patrimoniu, poursuit un travail de mise en valeur de notre patrimoine culturel au niveau des chants, des instruments et des danses.
Ce week-end, il était accompagné d’amis chanteurs, danseurs et musiciens afin de poursuivre ce travail de réhabilitation de ce patrimoine menacé.
Au programme, la présentation d’une partie des instruments traditionnels corses surtout i fiati (vents) : pivana, pirula, cornu, culombu, cialamella. Mais aussil’accordéon diatonique ou le violon. Et bien sûr, pratque et initiation. Sur ce point du vue, les quelques six cents scolaires invités vendredi ont apprécié de découvrir A Muresca, une danse très ancienne symbolisant la victoire sur les maures.
à la Fiera dL’atelier s’est poursuivi avec d’autres danses telles que U Saltarellu, « une danse qui symbolise la fertilité mais un rite, en même temps très solaire. Une danse qui remonte jusqu’aux Etrusques. Une façon de montrer que les danses existaient en Corse, notamment les danses circulaires et cela bien avant le quadrigliu ou la mazurca qui sont relativement récent. »
Ce samedi, l’équipe de danseurs et chanteurs ont mis en place « una veghja nustrale » invitant le public à se joindre à la soirée à travers les chants et danses. Une soirée qui s’est achevée aux côtés de Lisandru Casamarta et avec a Morra, un jeu peu compatible avec le chant. Ce dimanche, l’atelier a repris sous le chapiteau.
Une démarche appelée à s’étendre…
Ce week-end, il était accompagné d’amis chanteurs, danseurs et musiciens afin de poursuivre ce travail de réhabilitation de ce patrimoine menacé.
Au programme, la présentation d’une partie des instruments traditionnels corses surtout i fiati (vents) : pivana, pirula, cornu, culombu, cialamella. Mais aussil’accordéon diatonique ou le violon. Et bien sûr, pratque et initiation. Sur ce point du vue, les quelques six cents scolaires invités vendredi ont apprécié de découvrir A Muresca, une danse très ancienne symbolisant la victoire sur les maures.
à la Fiera dL’atelier s’est poursuivi avec d’autres danses telles que U Saltarellu, « une danse qui symbolise la fertilité mais un rite, en même temps très solaire. Une danse qui remonte jusqu’aux Etrusques. Une façon de montrer que les danses existaient en Corse, notamment les danses circulaires et cela bien avant le quadrigliu ou la mazurca qui sont relativement récent. »
Ce samedi, l’équipe de danseurs et chanteurs ont mis en place « una veghja nustrale » invitant le public à se joindre à la soirée à travers les chants et danses. Une soirée qui s’est achevée aux côtés de Lisandru Casamarta et avec a Morra, un jeu peu compatible avec le chant. Ce dimanche, l’atelier a repris sous le chapiteau.
Une démarche appelée à s’étendre…