Condamné par le Tribunal Correctionnel de Marseille en mars 2015 à quatre ans de prison et 50 000€ d'amende pour blanchiment d'argent et extorsion d'un salaire fictif auprès d'une société de Calvi, Dominique Costa, 61 ans, dit "Mimi", éleveur de vaches, soupçonné d'appartenir au grand banditisme, faisait l'objet d'un mandat d'arrêt et était depuis activement recherché.
Sa cavale il a pris fin vers 15 heures, sur l'ancienne Nationale 197 entre le village de Belgodère et Lozari.
Selon les premiers éléments, l'homme circulait à bord d'un véhicule en compagnie d'une deuxième personne domiciliée dans le Giunssani en Haute Balagne.
A la vue des policiers, les deux hommes ont tenté de fuir avant d'être rattrapés après que le véhicule se soit embourbé.
Menotté, "Mimi" Costa était aussitôt évacué des lieux alors que la seconde personne faisait l'objet de vérification, dans le même temps que le véhicule était passé au crible par les officiers de police.
Lors de son procés à Marseille en mars 2015, "Mimi" Costa n'avait pas comparu lors de l'audience. Il a été été reconnu coupable de blanchiment habituel commis à travers des investissements occultes dans différents commerces de Bastia et Corte ainsi que pour l'extorsion d'un salaire fictif auprès d'une société maritime de Calvi.
Une enquête avait par ailleurs été ouverte en 2009 sur le train de vie de la famille Costa dont l'un des membres, Maurice Costa, abattu en août 2012 à Ponte-Leccia , était présenté comme un parrain fondateur de la Brise de Mer.
Sa cavale il a pris fin vers 15 heures, sur l'ancienne Nationale 197 entre le village de Belgodère et Lozari.
Selon les premiers éléments, l'homme circulait à bord d'un véhicule en compagnie d'une deuxième personne domiciliée dans le Giunssani en Haute Balagne.
A la vue des policiers, les deux hommes ont tenté de fuir avant d'être rattrapés après que le véhicule se soit embourbé.
Menotté, "Mimi" Costa était aussitôt évacué des lieux alors que la seconde personne faisait l'objet de vérification, dans le même temps que le véhicule était passé au crible par les officiers de police.
Lors de son procés à Marseille en mars 2015, "Mimi" Costa n'avait pas comparu lors de l'audience. Il a été été reconnu coupable de blanchiment habituel commis à travers des investissements occultes dans différents commerces de Bastia et Corte ainsi que pour l'extorsion d'un salaire fictif auprès d'une société maritime de Calvi.
Une enquête avait par ailleurs été ouverte en 2009 sur le train de vie de la famille Costa dont l'un des membres, Maurice Costa, abattu en août 2012 à Ponte-Leccia , était présenté comme un parrain fondateur de la Brise de Mer.