Camille de Rocca Serra, député de la Corse-du-Sud et président du groupe Rassembler pour la Corse se « félicite de la prorogation du FIP Corse. Depuis sa création, le FIP c’est 96% d’investissement en faveur des entreprises insulaires et 350 emplois créés. L’évaluation du dispositif témoigne de son efficacité et de la nécessité de proroger le FIP Corse dans son différentiel de taux. Le bilan est largement positif et le coût nul pour les finances publiques au bout de 5 ans " estime t-il.
" Répondant aux besoins de l’économie insulaire et de nos PME, le FIP corse devait impérativement être reconduit. De par l’attractivité de son taux de réduction fiscale, c’est aujourd’hui le FIP le plus performant de France. Il est aujourd’hui abondé par seulement 30% d’épargnants insulaires. Notre objectif doit être de mobiliser davantage d’épargne populaire dans notre île dans le cadre du FIP. Cela engagerait les Corses en faveur de leur économie et d’une autonomie financière. Ce serait croire à notre développement et répondre aux besoins en terme de transmission d’entreprises" argumente t-il.
" La prorogation du FIP Corse dans son différentiel et dans sa spécificité est aujourd’hui acquise. J’avais déposé un amendement au Projet de Loi de Finances pour 2013 afin de proroger le dispositif jusqu’en 2016 malgré la disparition prévue des FIP au niveau national. Mes collègues et amis Sauveur Gandolfi-Scheit et Laurent Marcangeli étaient associés à ma démarche. Nous avions également obtenu la cosignature d’élus de qualité tels que Gilles Carrez, Laurent Wauquiez ou encore Xavier Bertrand. Le Gouvernement est finalement revenu sur sa décision, et conformément aux préconisations du Rapport Gallois, a décidé de maintenir en l’état l’ensemble des FIP et de fait, le dispositif insulaire.»
" Répondant aux besoins de l’économie insulaire et de nos PME, le FIP corse devait impérativement être reconduit. De par l’attractivité de son taux de réduction fiscale, c’est aujourd’hui le FIP le plus performant de France. Il est aujourd’hui abondé par seulement 30% d’épargnants insulaires. Notre objectif doit être de mobiliser davantage d’épargne populaire dans notre île dans le cadre du FIP. Cela engagerait les Corses en faveur de leur économie et d’une autonomie financière. Ce serait croire à notre développement et répondre aux besoins en terme de transmission d’entreprises" argumente t-il.
" La prorogation du FIP Corse dans son différentiel et dans sa spécificité est aujourd’hui acquise. J’avais déposé un amendement au Projet de Loi de Finances pour 2013 afin de proroger le dispositif jusqu’en 2016 malgré la disparition prévue des FIP au niveau national. Mes collègues et amis Sauveur Gandolfi-Scheit et Laurent Marcangeli étaient associés à ma démarche. Nous avions également obtenu la cosignature d’élus de qualité tels que Gilles Carrez, Laurent Wauquiez ou encore Xavier Bertrand. Le Gouvernement est finalement revenu sur sa décision, et conformément aux préconisations du Rapport Gallois, a décidé de maintenir en l’état l’ensemble des FIP et de fait, le dispositif insulaire.»