"Je n'accepterai jamais que l'on puisse opposer les Français entre eux", a poursuivi François Hollande estimant que "nous diviser, c'est ce que cherchent les extrémistes".
"Je n’accepterai pas davantage que l'on puisse s'en prendre, dans notre République laïque, à l'un de nos concitoyens pour la pratique de sa religion", a-t-il dit, ou "que des lieux de culte puissent être profanés, comme une salle de prière ces derniers jours en Corse".
"Ces gestes-là ne resteront jamais impunis, qu'ils concernent une mosquée, une synagogue, un temple, ou une église. Il y va de l'honneur de la France."