Homme, retiré de la scène politique, écrivain, François Leotard a exposé dans son livre différents éloges : de la femme infidèle, des poissons rouges, de la laideur, de la bêtise, des empires effondrés... en passant par l’éloge du vieux con : « une institution française », ce livre offre à vrai dire réflexion posée sur le monde d’aujourd’hui. Petits textes très courts « assez paradoxaux, souligne l'auteur, qui sont des éloges de certaines personnes, de certains lieux, certains animaux, permettant de porter un regard avec humour si possible, et avec humilité, sur le monde qui nous entoure.» ajoute-t-il.
La Corse et plus précisément la ville d’Ajaccio est un « berceau familial » que le petit fils du photographe Ange Tomasi, est toujours heureux de retrouver.
Quelle est votre relation à la corse ?
« Elle a toujours été très profonde et marquée par des souvenirs de jeunesse, aussi par le rôle que ma mère a joué dans la famille puisque elle était ajaccienne et très attachée à sa ville, ensuite par toute sorte de gens que j’ai aimés, avec lesquels j’ai pu échanger. Ajaccio pour moi est vraiment un lieu d’échanges. »
Votre titre évoque le Brouillard, serait-ce une référence Biblique ?
« Oui, dans la Bible, le brouillard, c’est la ténèbre, c’est à dire le moment où on ne voit plus clair autour de soi, où l’on ne reconnaît même plus son frère, On est un peu dans l’obscurité. Ce titre, fait référence à la 9ème plaie d’Égypte. Je crois que nous sommes dans cette période. »
Quel est votre regard actuel sur le monde ?
« Le problème n’est plus de vivre actuellement dans notre société, mais de survivre. la «Struggle for life » (lutte pour la vie) que nous avons connue, que nos parents et grand-parents ont connu, s’est transformé maintenant en un réel désir de survivre. La planète, est en train d’étouffer, la haine progresse plutôt qu’elle ne décroît, oui : la question de survie est vraiment posée. »
Votre livre est-il un essai philosophique ?
« Plutôt littéraire que philosophique, mais en tout cas, c’est une réflexion. Je ne connais pas de littérature qui ne pousse pas à une forme de réflexion, je pense que la littérature est un lieu de réflexion. »
L'après-midi a été ponctuée de visites, d'échanges avec des personnes venant spécialement rencontrer tant l'homme à la forte empreinte familiale ajaccienne que l'écrivain ou bien encore l'ex-homme politique, un moment sympathique passé avec lui autour de son livre dont on ne peut que « faire l'éloge » !
« Il est très difficile de parler d’un livre qu’on a écrit. J’aime écrire, certains de mes livres ont marché d’autres moins, j’aime varier les genres. Et je continuerai à le faire si Dieu me prête vie. »
La Corse et plus précisément la ville d’Ajaccio est un « berceau familial » que le petit fils du photographe Ange Tomasi, est toujours heureux de retrouver.
Quelle est votre relation à la corse ?
« Elle a toujours été très profonde et marquée par des souvenirs de jeunesse, aussi par le rôle que ma mère a joué dans la famille puisque elle était ajaccienne et très attachée à sa ville, ensuite par toute sorte de gens que j’ai aimés, avec lesquels j’ai pu échanger. Ajaccio pour moi est vraiment un lieu d’échanges. »
Votre titre évoque le Brouillard, serait-ce une référence Biblique ?
« Oui, dans la Bible, le brouillard, c’est la ténèbre, c’est à dire le moment où on ne voit plus clair autour de soi, où l’on ne reconnaît même plus son frère, On est un peu dans l’obscurité. Ce titre, fait référence à la 9ème plaie d’Égypte. Je crois que nous sommes dans cette période. »
Quel est votre regard actuel sur le monde ?
« Le problème n’est plus de vivre actuellement dans notre société, mais de survivre. la «Struggle for life » (lutte pour la vie) que nous avons connue, que nos parents et grand-parents ont connu, s’est transformé maintenant en un réel désir de survivre. La planète, est en train d’étouffer, la haine progresse plutôt qu’elle ne décroît, oui : la question de survie est vraiment posée. »
Votre livre est-il un essai philosophique ?
« Plutôt littéraire que philosophique, mais en tout cas, c’est une réflexion. Je ne connais pas de littérature qui ne pousse pas à une forme de réflexion, je pense que la littérature est un lieu de réflexion. »
L'après-midi a été ponctuée de visites, d'échanges avec des personnes venant spécialement rencontrer tant l'homme à la forte empreinte familiale ajaccienne que l'écrivain ou bien encore l'ex-homme politique, un moment sympathique passé avec lui autour de son livre dont on ne peut que « faire l'éloge » !
« Il est très difficile de parler d’un livre qu’on a écrit. J’aime écrire, certains de mes livres ont marché d’autres moins, j’aime varier les genres. Et je continuerai à le faire si Dieu me prête vie. »