C'est le communiqué rendu public samedi par la Ligue de football professionnel sur son site. Un communiqué qui n'augure rien de bon pour le GFCA qui, dans la situation dans laquelle il se trouve, n'avait sans doute pas besoin de cela.
En tout cas après la fin de match houleuse connue par Mezzavia, il ne faudra pas s'attendre à de la mansuétude ni de la part de la commission de discipline de laquelle, d'une façon générale, les clubs corses sortent rarement blanchis, ni de celle du président de la LFP toujours prompt à se manifester dès lors qu'il s'agit de l'un de nos trois clubs professionnels.
Quant aux faits, si l'on en croit les plaintes déposées par les quatre arbitres, qui ont regagné Bastia dans la nuit, elles porteraient sur des faits de "outrage, violences et menaces "contre X et sur des faits " d'outrages et menaces" contre les dirigeants du GFCA. Des faits que démentent les dirigeans ajacciens qui se sont manifestés eux aussi par voie de communiqués.
Pour le GFCA, "il n'y a eu aucun acte d'intimidation, ni de violences physiques. " "Aucun envhaissement de terrain n'a été constaté tant par les forces de l'ordre, que les délégués que les caméras de Bein Sport ou par l'équipe monégasque".
"Par contre l'arbitre (.…) M. Chapron s’est encore une fois distingué par son manque de professionnalisme, d’éducation, et sa bêtise en somme, en pourrissant la fin d’un match qui s’était déroulé une fois de plus dans un bon esprit à Mezzavia. Celui-ci s’est permis de déverser gratuitement, avec arrogance, un flot d’insultes à l’égard de tous les joueurs (ajacciens et monégasques), et notamment de notre responsable de la sécurité. Nous interpellons officiellement nos instances afin que l’arbitrage de haut niveau soit effectué par des gens tout simplement intelligents et pédagogues. Il appartient donc dès à présent aux instances de sanctionner et d’éliminer les agissements de (…) Chapron. Le club se réserve la possibilité de déposer une plainte en diffamation et de demander tous dommages et intérêts si un préjudice d’image lui est causé."
En tout cas après la fin de match houleuse connue par Mezzavia, il ne faudra pas s'attendre à de la mansuétude ni de la part de la commission de discipline de laquelle, d'une façon générale, les clubs corses sortent rarement blanchis, ni de celle du président de la LFP toujours prompt à se manifester dès lors qu'il s'agit de l'un de nos trois clubs professionnels.
Quant aux faits, si l'on en croit les plaintes déposées par les quatre arbitres, qui ont regagné Bastia dans la nuit, elles porteraient sur des faits de "outrage, violences et menaces "contre X et sur des faits " d'outrages et menaces" contre les dirigeants du GFCA. Des faits que démentent les dirigeans ajacciens qui se sont manifestés eux aussi par voie de communiqués.
Pour le GFCA, "il n'y a eu aucun acte d'intimidation, ni de violences physiques. " "Aucun envhaissement de terrain n'a été constaté tant par les forces de l'ordre, que les délégués que les caméras de Bein Sport ou par l'équipe monégasque".
"Par contre l'arbitre (.…) M. Chapron s’est encore une fois distingué par son manque de professionnalisme, d’éducation, et sa bêtise en somme, en pourrissant la fin d’un match qui s’était déroulé une fois de plus dans un bon esprit à Mezzavia. Celui-ci s’est permis de déverser gratuitement, avec arrogance, un flot d’insultes à l’égard de tous les joueurs (ajacciens et monégasques), et notamment de notre responsable de la sécurité. Nous interpellons officiellement nos instances afin que l’arbitrage de haut niveau soit effectué par des gens tout simplement intelligents et pédagogues. Il appartient donc dès à présent aux instances de sanctionner et d’éliminer les agissements de (…) Chapron. Le club se réserve la possibilité de déposer une plainte en diffamation et de demander tous dommages et intérêts si un préjudice d’image lui est causé."
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