Mais pourquoi avoir décidé d'avoir relevé un tel pari ?
"Tout simplement parce que j'ai rencontré un président qui a su me convaincre de l'intérêt qu'il y avait à venir entrainer le Gazelec… Il y a beaucoup d'espoir, beaucoup de passion. La situation est délicate. Quand on regarde objectivement les chiffres c'est quelque chose qui semble difficile à inverser. C'est peut être cela aussi qui m'a incité à venir dans ce club que je connaissais pour l'avoir rencontré en championnat et en coupe de la Ligue avec Arles en début de saison. J'avais trouvé pas mal de qualités à cette équipe et cela a, aussi, pesé dans ma décision."
Et maintenant ?
" Nous devrons mettre le nez dans le guidon pendant trois mois, baisser la tête et foncer. On verra à l'arrivée... Mais, c'est sûr, il, faudra travailler sur le terrain comme dans tous les clubs où un nouvel entraîneur arrive. Remobiliser tout le monde."
Est-ce que cela suffira ?
" Je suis incapable de vous le dire aujourd'hui. On l'espère, bien sûr, tous. Ce qui est certain c'est que l'on va tout donner pour que l'équipe retrouve une certaine verve et une certaine qualité pour, sans se poser de questions, essayer d'inverser la tendance.
Mais il y a quand même 6 points à remonter ?
"A treize journées de la fin tous les points vont compter. Il faudra composer, aussi, avec les résultats des adversaires. En fait c'est une véritable course contre la montre que nous entamons aujourd'hui. Et cela commence par une remobilisation de tout le monde. Il faut redonner de la vie au groupe et bannir du vestiaire cet abattement auquel j'ai, déjà, été confronté avec Arles avec cinq défaites consécutives. En effet même si l'on pense que l'on va trouver des solutions, sur le terrain ce n'est pas toujours aussi évident. Il y a un certain abattement qui s'installe. Bref il faut rapidement inverser cette tendance. C'est surtout ce que l'on va essayer de travailler. Les joueurs ne sont pas mauvais. Il y a de la qualité. C'est tout simplement qu'à un moment donné il ya des choses ne passent pas. On ne sait pas pourquoi. Des fois, dans un match, vous avez dix occasions vous n'en mettez pas une. Un mois après c'est l"inverse. Et ça plane pour vous. C'est le football. Et ça tient à peu de choses surtout dans ce championnat très serré et très ouvert. Le Gazelec vient de connaître un gros "bug". Espérons que d'autres clubs en connaîtront un pour laisser une chance au GFCA de se maintenir en Ligue 2 à la fin de la saison."
"Tout simplement parce que j'ai rencontré un président qui a su me convaincre de l'intérêt qu'il y avait à venir entrainer le Gazelec… Il y a beaucoup d'espoir, beaucoup de passion. La situation est délicate. Quand on regarde objectivement les chiffres c'est quelque chose qui semble difficile à inverser. C'est peut être cela aussi qui m'a incité à venir dans ce club que je connaissais pour l'avoir rencontré en championnat et en coupe de la Ligue avec Arles en début de saison. J'avais trouvé pas mal de qualités à cette équipe et cela a, aussi, pesé dans ma décision."
Et maintenant ?
" Nous devrons mettre le nez dans le guidon pendant trois mois, baisser la tête et foncer. On verra à l'arrivée... Mais, c'est sûr, il, faudra travailler sur le terrain comme dans tous les clubs où un nouvel entraîneur arrive. Remobiliser tout le monde."
Est-ce que cela suffira ?
" Je suis incapable de vous le dire aujourd'hui. On l'espère, bien sûr, tous. Ce qui est certain c'est que l'on va tout donner pour que l'équipe retrouve une certaine verve et une certaine qualité pour, sans se poser de questions, essayer d'inverser la tendance.
Mais il y a quand même 6 points à remonter ?
"A treize journées de la fin tous les points vont compter. Il faudra composer, aussi, avec les résultats des adversaires. En fait c'est une véritable course contre la montre que nous entamons aujourd'hui. Et cela commence par une remobilisation de tout le monde. Il faut redonner de la vie au groupe et bannir du vestiaire cet abattement auquel j'ai, déjà, été confronté avec Arles avec cinq défaites consécutives. En effet même si l'on pense que l'on va trouver des solutions, sur le terrain ce n'est pas toujours aussi évident. Il y a un certain abattement qui s'installe. Bref il faut rapidement inverser cette tendance. C'est surtout ce que l'on va essayer de travailler. Les joueurs ne sont pas mauvais. Il y a de la qualité. C'est tout simplement qu'à un moment donné il ya des choses ne passent pas. On ne sait pas pourquoi. Des fois, dans un match, vous avez dix occasions vous n'en mettez pas une. Un mois après c'est l"inverse. Et ça plane pour vous. C'est le football. Et ça tient à peu de choses surtout dans ce championnat très serré et très ouvert. Le Gazelec vient de connaître un gros "bug". Espérons que d'autres clubs en connaîtront un pour laisser une chance au GFCA de se maintenir en Ligue 2 à la fin de la saison."