Jean-Paul Poletti et Jacques Fieschi ont entamé leur mouvement de grève de la faim il y a 16 jours
Aujourd’hui mercredi 16 Décembre Jean Paul Poletti et Jacques Fieschi entament le seizième jour de leur grève de la faim. Leurs organismes n’ont plus la même résistance qu’il y a vingt ans, et l’inquiétude grandit sur leur état de santé.
Le Préfet Christophe Mirmand a accepté de nous recevoir, et un dialogue s’est engagé. Huit jours plus tard, il est toujours sans résultat concret. Ce blocage nous inquiète.
Nous demandons que les procédures qui frappent Jacques Fieschi et Jean Paul Poletti soient l’objet d’une révision impartiale, dans les formes que l’administration devra définir, et que, dans l’attente, les décisions de recouvrement des sommes qui leur sont injustement réclamées soient suspendues.
Il y a urgence à ce qu’une solution intervienne. La Corse vient de connaître un changement en profondeur, et il serait préjudiciable au nécessaire dialogue avec l’Etat que rien ne soit fait pour accéder aux demandes de justice qui sont celles de deux acteurs emblématiques de la société corse.
Le peuple corse attend qu’enfin se dénoue cette affaire qui est une suite directe de la période Bonnet. Il est temps, plus que temps, de passer à autre chose. L’Etat doit le comprendre et agir en conséquence.
Le Préfet Christophe Mirmand a accepté de nous recevoir, et un dialogue s’est engagé. Huit jours plus tard, il est toujours sans résultat concret. Ce blocage nous inquiète.
Nous demandons que les procédures qui frappent Jacques Fieschi et Jean Paul Poletti soient l’objet d’une révision impartiale, dans les formes que l’administration devra définir, et que, dans l’attente, les décisions de recouvrement des sommes qui leur sont injustement réclamées soient suspendues.
Il y a urgence à ce qu’une solution intervienne. La Corse vient de connaître un changement en profondeur, et il serait préjudiciable au nécessaire dialogue avec l’Etat que rien ne soit fait pour accéder aux demandes de justice qui sont celles de deux acteurs emblématiques de la société corse.
Le peuple corse attend qu’enfin se dénoue cette affaire qui est une suite directe de la période Bonnet. Il est temps, plus que temps, de passer à autre chose. L’Etat doit le comprendre et agir en conséquence.