François Hollande a participé à la Journée nationale du souvenir et de recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc.
Le 19 mars 1962, en application des accords d’Évian signés la veille, entrait en vigueur un cessez-le-feu, première étape d’un processus qui allait aboutir à l’indépendance de l’Algérie en juillet.
Plus d’un demi-siècle plus tard, et quatre ans après la loi qui a fait du 19 mars la Journée nationale, c’est la première fois que le chef de l’État a rendu hommage à toutes les victimes devant le mémorial parisien du Quai-Branly.
Par son initiative M. Hollande s’est attiré les foudres de la droite et de l’extrême droite mais aussi de plusieurs associations de harkis et de rapatriés d’Algérie.
Pour de nombreux anciens combattants, comme Pierre-Dominique Pinna, le 19 mars marque non pas la fin du conflit algérien, mais le début de l'exil et du massacre de civils et des harkis.
Le 19 mars 1962, en application des accords d’Évian signés la veille, entrait en vigueur un cessez-le-feu, première étape d’un processus qui allait aboutir à l’indépendance de l’Algérie en juillet.
Plus d’un demi-siècle plus tard, et quatre ans après la loi qui a fait du 19 mars la Journée nationale, c’est la première fois que le chef de l’État a rendu hommage à toutes les victimes devant le mémorial parisien du Quai-Branly.
Par son initiative M. Hollande s’est attiré les foudres de la droite et de l’extrême droite mais aussi de plusieurs associations de harkis et de rapatriés d’Algérie.
Pour de nombreux anciens combattants, comme Pierre-Dominique Pinna, le 19 mars marque non pas la fin du conflit algérien, mais le début de l'exil et du massacre de civils et des harkis.