- Quel est l’objet de ce séminaire de travail ?
- Notre assemblée générale a été un point de départ. Nous avons pris acte que le compte à rebours des municipales est enclenché. Nous voulons nous inscrire dans une perspective de victoire, pas seulement électorale. Bien sûr, nous espérons la victoire, mais il est tout aussi important, si on gagne électoralement, de se donner les moyens de réussir politiquement, c’est-à-dire de satisfaire l’aspiration des gens à un changement réel et profond. Pour cela, il faut encore renforcer, élargir et améliorer la démarche d’Inseme per Bastia.
- De quelle manière ?
- Cela passe, notamment, par l’élaboration d’un projet qui nous permette d’agréger le plus grand nombre possible de compétences, de volonté et de personnes. Nous nous sommes dotés d’un calendrier et d’une méthode de travail, notamment avec des ateliers par thèmes sur lesquels nous avons commencé à travailler lors de ce séminaire.
- Est-ce la première fois que ces ateliers thématiques se réunissent ?
- Tout à fait. Cette première réunion d’ateliers nous a permis de constater, d’abord, que nous pouvons compter sur des compétences très fortes et très diverses. Nous nous réjouissons que notre démarche ait déjà agrégé à travers les générations, les expériences professionnelles, les secteurs d’activité et les origines sociales. C’est, peut-être, la première richesse d’Inseme per Bastia.
- Quel bilan tirez-vous de ce séminaire ?
- Cette phase concrète de travail dans les ateliers a fourni une production très importante d’idées, un diagnostic de l’état des lieux et définit des priorités. De cette production, nous dégagerons un premier matériau brut qu’il faudra, d’abord, conformément à nos statuts, faire valider par l’assemblée générale d’Inseme per Bastia. Nous irons, ensuite, au contact des Bastiaises et des Bastiais au travers de réunions de quartiers pour que tout le monde puisse prendre connaissance de nos propositions et contribuer à les enrichir et à les améliorer.
- Ces ateliers préparent-ils le projet Bastia 2014 que vous proposerez aux prochaines élections municipales ?
- Tout à fait. Nous ne voulons pas, comme c’est souvent le cas dans les élections municipales ou autres, que le programme, généralement confié à un cabinet spécialisé ou à quelques experts qui se chargent de le rédiger, arrive quelques semaines avant le scrutin. Nous souhaitons que le projet porté par Inseme per Bastia soit réellement le fruit d’une réflexion collective et la réponse à des aspirations individuelles et collectives et qu’ainsi il puisse être véritablement défendu, porté et demain, nous l’espérons, mis en œuvre par le plus grand nombre.
- Le calendrier est-il déjà défini ?
- Ce premier cycle de travail devrait normalement se conclure en janvier ou février par un premier pré-projet qui sera validé par les militants. Ensuite, ce pré-projet sera soumis à la discussion et à la concertation à travers des réunions de quartiers et des réunions thématiques que nous ouvrirons, bien sûr, à des gens qui ne sont pas forcément adhérents d’Inseme per Bastia. Nous donnerons, ainsi, le moyen à chacun de prendre connaissance de nos propositions, de les améliorer et de les enrichir par ses propres réflexions, ses expériences et ses initiatives. C’est dans ce deuxième temps que nous finaliserons le projet qui sera porté par le plus grand nombre.
- Peut-on, d’ores et déjà, dire que vous confirmez votre candidature pour 2014 ?
- On peut dire que, de toute façon, Inseme per Bastia, au delà de ma candidature personnelle, va se donner les moyens d’être la force motrice du changement à Bastia. Nous pensons qu’il y a une aspiration très majoritaire au changement. Nous avons vocation à la concrétiser.
Propos recueillis par Nicole MARI
- Notre assemblée générale a été un point de départ. Nous avons pris acte que le compte à rebours des municipales est enclenché. Nous voulons nous inscrire dans une perspective de victoire, pas seulement électorale. Bien sûr, nous espérons la victoire, mais il est tout aussi important, si on gagne électoralement, de se donner les moyens de réussir politiquement, c’est-à-dire de satisfaire l’aspiration des gens à un changement réel et profond. Pour cela, il faut encore renforcer, élargir et améliorer la démarche d’Inseme per Bastia.
- De quelle manière ?
- Cela passe, notamment, par l’élaboration d’un projet qui nous permette d’agréger le plus grand nombre possible de compétences, de volonté et de personnes. Nous nous sommes dotés d’un calendrier et d’une méthode de travail, notamment avec des ateliers par thèmes sur lesquels nous avons commencé à travailler lors de ce séminaire.
- Est-ce la première fois que ces ateliers thématiques se réunissent ?
- Tout à fait. Cette première réunion d’ateliers nous a permis de constater, d’abord, que nous pouvons compter sur des compétences très fortes et très diverses. Nous nous réjouissons que notre démarche ait déjà agrégé à travers les générations, les expériences professionnelles, les secteurs d’activité et les origines sociales. C’est, peut-être, la première richesse d’Inseme per Bastia.
- Quel bilan tirez-vous de ce séminaire ?
- Cette phase concrète de travail dans les ateliers a fourni une production très importante d’idées, un diagnostic de l’état des lieux et définit des priorités. De cette production, nous dégagerons un premier matériau brut qu’il faudra, d’abord, conformément à nos statuts, faire valider par l’assemblée générale d’Inseme per Bastia. Nous irons, ensuite, au contact des Bastiaises et des Bastiais au travers de réunions de quartiers pour que tout le monde puisse prendre connaissance de nos propositions et contribuer à les enrichir et à les améliorer.
- Ces ateliers préparent-ils le projet Bastia 2014 que vous proposerez aux prochaines élections municipales ?
- Tout à fait. Nous ne voulons pas, comme c’est souvent le cas dans les élections municipales ou autres, que le programme, généralement confié à un cabinet spécialisé ou à quelques experts qui se chargent de le rédiger, arrive quelques semaines avant le scrutin. Nous souhaitons que le projet porté par Inseme per Bastia soit réellement le fruit d’une réflexion collective et la réponse à des aspirations individuelles et collectives et qu’ainsi il puisse être véritablement défendu, porté et demain, nous l’espérons, mis en œuvre par le plus grand nombre.
- Le calendrier est-il déjà défini ?
- Ce premier cycle de travail devrait normalement se conclure en janvier ou février par un premier pré-projet qui sera validé par les militants. Ensuite, ce pré-projet sera soumis à la discussion et à la concertation à travers des réunions de quartiers et des réunions thématiques que nous ouvrirons, bien sûr, à des gens qui ne sont pas forcément adhérents d’Inseme per Bastia. Nous donnerons, ainsi, le moyen à chacun de prendre connaissance de nos propositions, de les améliorer et de les enrichir par ses propres réflexions, ses expériences et ses initiatives. C’est dans ce deuxième temps que nous finaliserons le projet qui sera porté par le plus grand nombre.
- Peut-on, d’ores et déjà, dire que vous confirmez votre candidature pour 2014 ?
- On peut dire que, de toute façon, Inseme per Bastia, au delà de ma candidature personnelle, va se donner les moyens d’être la force motrice du changement à Bastia. Nous pensons qu’il y a une aspiration très majoritaire au changement. Nous avons vocation à la concrétiser.
Propos recueillis par Nicole MARI