"Association de malfaiteurs terroriste délictuelle", "fabrication non autorisée d'engin explosif ou incendiaire en relation avec une entreprise terroriste" et "destruction et tentative de destruction par un moyen dangereux pour les personnes en relation avec une entreprise terroriste" : ce sont les charges retenues contre quatre des onze personnes, interpellées lundi dans le cadre des enquêtes ouvertes après des d'explosions ou de tentatives de destructions de résidences secondaires qui avaient précédé la venue de Emmanuel Macron en Corse. Trois ont été écrouées. Le quatrième homme, qui sera poursuivi pour "association de malfaiteurs terroriste délictuelle", a été placé sous contrôle judiciaire
Si dans le même temps trois personnes ont été libérées sans qu'aucune charge n'ait été retenue contre elles, trois autres devaient être présentées ce même vendredi à un juge d'instruction parisien.
Si dans le même temps trois personnes ont été libérées sans qu'aucune charge n'ait été retenue contre elles, trois autres devaient être présentées ce même vendredi à un juge d'instruction parisien.