Dans le cas du collège Simon-Vinciguerra, son histoire vieille de plus de quatre siècles, fait patrimoine. C’est ainsi un lieu incontournable pour qui voudrait comprendre les voies de la formation de la jeunesse en Corse depuis le début du XVII° siècle.
Aujourd’hui, les professeurs s’appuient sur ce capital exceptionnel pour déployer des parcours pédagogiques dans le cadre des programmes officiels qui accordent une large part à l’éducation artistique et culturelle.
Celle-ci prend en charge le patrimoine comme l’un de ses domaines privilégiés. Indépendamment du fait que les enseignants peuvent ainsi développer des chemins de découverte et de sensibilisation aux formes, à l’esthétique, aux styles, aux fonctions, à l’histoire, ce thème transversal implique aussi l’éducation à la citoyenneté (protection et respect des objets et des signes patrimoniaux, responsabilité citoyenne envers les formes laissées par les générations passées…).
Voilà pourquoi des ateliers sont mis en place depuis plusieurs années scolaires notamment dans le lieu incontournable que reste le Centre de documentation et d’information de l’établissement. Ces ateliers convoquent non seulement les professeurs documentalistes mais encore les professeurs de disciplines aussi diverses que la technologie, les lettres, l’histoire, la langue corse, les langues et les cultures de l’antiquité, les langues vivantes étrangères. Ces ateliers associent aussi les membres de l’équipe d’encadrement, notamment les conseillers principaux d’éducation.
Samedi l’ancien « Lycée impérial Napoléon III » a accueilli un public curieux, attaché à la culture collective qu’il produit depuis des siècles, autour de l’idée suivante : « Jeunesse et patrimoine : du Collège Jésuite au Lycée de Bastia, un lieu, quatre siècles d’éducation (1601-2017) ». Le public s’est vu proposer une présentation de l’histoire du collège depuis le XVII° siècle, une collection de photos de classes, le « cabinet de curiosités » reconstitué avec la participation des élèves et sans cesse enrichi et la découverte de l’atelier restauration des livres anciens, atelier organisé en partenariat avec la Bibliothèque patrimoniale Tommaso Prelà.
Le public a été accueilli et guidé par Marie- Pierre Marchini, historienne du Collège Simon Vinciguerra, Paule Beveraggi, professeure documentaliste, Philippe Bartolomei, professeur documentaliste, Marie Josée Costa, conseillère principale d’éducation et des élèves notamment ceux de l’atelier Patrimoine dirigé par Linda Piazza, adjointe à la direction des bibliothèques de Bastia.
Au lycée Jean Nicoli, belle exposition aussi avec de nombreuses photographies d’archives. L’actuel Lycée Jean-Nicoli figure au nombre des bâtiments les plus chargés d’histoire de la ville. La partie la plus ancienne de l’établissement a plus de trois cents ans. Elle est constituée par l’ancien couvent de la "Société des Prêtres de la Mission" dite également "Congrégation des Missionnaires Lazaristes". Longtemps appelé Lycée Marbeuf, l’établissement porte aujourd’hui le nom d’un héros de la résistance, Jean Nicoli (1899-1943) et abrite quelque 500 élèves.
Aujourd’hui, les professeurs s’appuient sur ce capital exceptionnel pour déployer des parcours pédagogiques dans le cadre des programmes officiels qui accordent une large part à l’éducation artistique et culturelle.
Celle-ci prend en charge le patrimoine comme l’un de ses domaines privilégiés. Indépendamment du fait que les enseignants peuvent ainsi développer des chemins de découverte et de sensibilisation aux formes, à l’esthétique, aux styles, aux fonctions, à l’histoire, ce thème transversal implique aussi l’éducation à la citoyenneté (protection et respect des objets et des signes patrimoniaux, responsabilité citoyenne envers les formes laissées par les générations passées…).
Voilà pourquoi des ateliers sont mis en place depuis plusieurs années scolaires notamment dans le lieu incontournable que reste le Centre de documentation et d’information de l’établissement. Ces ateliers convoquent non seulement les professeurs documentalistes mais encore les professeurs de disciplines aussi diverses que la technologie, les lettres, l’histoire, la langue corse, les langues et les cultures de l’antiquité, les langues vivantes étrangères. Ces ateliers associent aussi les membres de l’équipe d’encadrement, notamment les conseillers principaux d’éducation.
Samedi l’ancien « Lycée impérial Napoléon III » a accueilli un public curieux, attaché à la culture collective qu’il produit depuis des siècles, autour de l’idée suivante : « Jeunesse et patrimoine : du Collège Jésuite au Lycée de Bastia, un lieu, quatre siècles d’éducation (1601-2017) ». Le public s’est vu proposer une présentation de l’histoire du collège depuis le XVII° siècle, une collection de photos de classes, le « cabinet de curiosités » reconstitué avec la participation des élèves et sans cesse enrichi et la découverte de l’atelier restauration des livres anciens, atelier organisé en partenariat avec la Bibliothèque patrimoniale Tommaso Prelà.
Le public a été accueilli et guidé par Marie- Pierre Marchini, historienne du Collège Simon Vinciguerra, Paule Beveraggi, professeure documentaliste, Philippe Bartolomei, professeur documentaliste, Marie Josée Costa, conseillère principale d’éducation et des élèves notamment ceux de l’atelier Patrimoine dirigé par Linda Piazza, adjointe à la direction des bibliothèques de Bastia.
Au lycée Jean Nicoli, belle exposition aussi avec de nombreuses photographies d’archives. L’actuel Lycée Jean-Nicoli figure au nombre des bâtiments les plus chargés d’histoire de la ville. La partie la plus ancienne de l’établissement a plus de trois cents ans. Elle est constituée par l’ancien couvent de la "Société des Prêtres de la Mission" dite également "Congrégation des Missionnaires Lazaristes". Longtemps appelé Lycée Marbeuf, l’établissement porte aujourd’hui le nom d’un héros de la résistance, Jean Nicoli (1899-1943) et abrite quelque 500 élèves.