Dernière conférence de presse avant le meeting de ce vendredi au théâtre municipal de Bastia
"Depuis dimanche, les Bastiais sont stupéfaits et écoeurés par l'énormité de la combinaison politicienne que Gilles Simeoni, François Tatti et Jean-Louis Milani ont mis au point pour tenter d'obtenir une victoire que leur échec respectif du premier tour ne leur permettait pas d'espérer"" a t-il martelé d'entrée.
"Gilles Simeoni, porté selon lui par "une vague irrésistible" s'était fixé l'objectif d'arriver en tête le 23 mars: il a échoué.
François Tatti avait prétendu que le suffrage universel lui donnerait la légitimité d'être maire de Bastia: il a échoué.
Jean-Louis Milani ambitionnait de rassembler autour de lui la famille de droite et centriste: il a échoué au point d'être recalé pour le second tour."
Le ton de la conférence de presse était donné.
Et le tête de la liste du rassemblement de gauche et des démocrates de progrès a poursuivi sur le même ton : "Ils ont échoué parce que le premier tour a vu le bilan de la majorité sortante être largement approuvé par les Bastiais. Avec une participation record, la liste de Jean Zuccarelli est arrivée en tête. Et, le total des deux listes se réclamant de ce bilan et de la gauche frôle la majorité.
Jean Zuccarelli avait obtenu du suffrage universel la légitimité pour rassembler au second tour les forces de gauche et républicaines: elles étaient majoritaires et c'était le seul rassemblement naturel."
"La somme des ambitions personnelles pour prendre le pouvoir"
Puis Jean Zuccarelli a haussé le ton.
Pour montrer du doigt tout à la fois François Tatti et Jean-Louis Milani qui "se sont reniés et ont trahis leurs électeurs". Puis François Tatti et Emmanuelle De Gentili et à partir des déclarations prononcées avant le premier tour par les candidats camp opposé, affirmer que tous ont "menti".
Et il a poursuivi sur le même thème : "Gilles Simeoni, François Tatti et Jean-Louis Milani prétendent proposer aux Bastiais "une autre façon de concevoir la politique". Chacun comprend aisément que le mensonge et la trahison sont les seules méthodes de cette politique."
"En vérité, le ciment de leur union n'est que la somme des ambitions personnelles pour prendre le pouvoir à la faveur d'une grossière combine politicienne et se partager les places…"
"Quel crédit peuvent-ils accorder à la parole de ceux qui, comme François Tatti et Jean-Louis Milani, les ont trompé sur leurs véritables intentions pour le second tour? Aucun.
Quelles garanties du respect des valeurs républicaines peuvent-ils attendre de ceux-là même qui les ont bradé en échange de quelques places? Aucune.
Quelle confiance peut inspirer un maire qui aurait été élu contre la morale? Aucune."
Quel avenir pour cet attelage qui ne résistera pas à la gestion et aux premières difficultés ? Aucun."
Faillite de la morale politique
Jean Zuccarelli l'a rappelé avec beaucoup de conviction : "Face à cette faillite de la morale politique, notre liste est porteuse d'une démarche claire et loyale."
"Nous proposons aux Bastiais un contrat fondé sur la confiance et le respect de la parole donnée. Nos valeurs sont celles du progrès et de la République. Il est conforme au message du premier tour.
Notre nouvelle force est celle qui tourne le dos à ces pratiques archaïques et porte seule le bilan de la municipalité sortante. Elle incarne seule l’espoir et l’avenir de notre cité."
Bastia est à la croisée des chemins, devant un choix de société. C’est pourquoi, j’appelle chaque Bastiaise, chaque Bastiais, à sanctionner par son vote, dimanche, la coalition archaïque renvoyant aux pires pratiques claniques seulement soudée par des intérêts personnels. Je vous engage, loin de l’aventure de quelques-uns, à choisir l’équipe solide, le projet cohérent que nous proposons, seul garant de l’avenir de notre ville".
"Gilles Simeoni, porté selon lui par "une vague irrésistible" s'était fixé l'objectif d'arriver en tête le 23 mars: il a échoué.
François Tatti avait prétendu que le suffrage universel lui donnerait la légitimité d'être maire de Bastia: il a échoué.
Jean-Louis Milani ambitionnait de rassembler autour de lui la famille de droite et centriste: il a échoué au point d'être recalé pour le second tour."
Le ton de la conférence de presse était donné.
Et le tête de la liste du rassemblement de gauche et des démocrates de progrès a poursuivi sur le même ton : "Ils ont échoué parce que le premier tour a vu le bilan de la majorité sortante être largement approuvé par les Bastiais. Avec une participation record, la liste de Jean Zuccarelli est arrivée en tête. Et, le total des deux listes se réclamant de ce bilan et de la gauche frôle la majorité.
Jean Zuccarelli avait obtenu du suffrage universel la légitimité pour rassembler au second tour les forces de gauche et républicaines: elles étaient majoritaires et c'était le seul rassemblement naturel."
"La somme des ambitions personnelles pour prendre le pouvoir"
Puis Jean Zuccarelli a haussé le ton.
Pour montrer du doigt tout à la fois François Tatti et Jean-Louis Milani qui "se sont reniés et ont trahis leurs électeurs". Puis François Tatti et Emmanuelle De Gentili et à partir des déclarations prononcées avant le premier tour par les candidats camp opposé, affirmer que tous ont "menti".
Et il a poursuivi sur le même thème : "Gilles Simeoni, François Tatti et Jean-Louis Milani prétendent proposer aux Bastiais "une autre façon de concevoir la politique". Chacun comprend aisément que le mensonge et la trahison sont les seules méthodes de cette politique."
"En vérité, le ciment de leur union n'est que la somme des ambitions personnelles pour prendre le pouvoir à la faveur d'une grossière combine politicienne et se partager les places…"
"Quel crédit peuvent-ils accorder à la parole de ceux qui, comme François Tatti et Jean-Louis Milani, les ont trompé sur leurs véritables intentions pour le second tour? Aucun.
Quelles garanties du respect des valeurs républicaines peuvent-ils attendre de ceux-là même qui les ont bradé en échange de quelques places? Aucune.
Quelle confiance peut inspirer un maire qui aurait été élu contre la morale? Aucune."
Quel avenir pour cet attelage qui ne résistera pas à la gestion et aux premières difficultés ? Aucun."
Faillite de la morale politique
Jean Zuccarelli l'a rappelé avec beaucoup de conviction : "Face à cette faillite de la morale politique, notre liste est porteuse d'une démarche claire et loyale."
"Nous proposons aux Bastiais un contrat fondé sur la confiance et le respect de la parole donnée. Nos valeurs sont celles du progrès et de la République. Il est conforme au message du premier tour.
Notre nouvelle force est celle qui tourne le dos à ces pratiques archaïques et porte seule le bilan de la municipalité sortante. Elle incarne seule l’espoir et l’avenir de notre cité."
Bastia est à la croisée des chemins, devant un choix de société. C’est pourquoi, j’appelle chaque Bastiaise, chaque Bastiais, à sanctionner par son vote, dimanche, la coalition archaïque renvoyant aux pires pratiques claniques seulement soudée par des intérêts personnels. Je vous engage, loin de l’aventure de quelques-uns, à choisir l’équipe solide, le projet cohérent que nous proposons, seul garant de l’avenir de notre ville".
Jean Zuccarelli est,également, revenu sur son programme d'action municipale 2014-2020, un programme "crédible, ambitieux et responsable" reposant sur "un bilan exemplaire". Il en a détaillé les grands axes et les propositions en matière économique, sociale, culturelle, de circulation et de stationnement, de solidarités, de développement durable...