Remis en liberté pour raisons médicales le 30 mars, sous contrôle judiciaire, Jacques Santoni a vu ce dernier allégé le 20 octobre par un arrêt de la chambre de l'instruction de la cour d'appel d'Aix-en-Provence qui lui permet de se rendre dans l'île de Beauté pour "toutes les vacances scolaires", a indiqué à l'AFP son avocate Pauline Baudu-Armand. L'homme, 44 ans, est ainsi "assigné à résidence en Corse" pendant les vacances scolaires, "afin de pouvoir voir ses enfants", a précisé son avocate.
Avant cette décision, son contrôle judiciaire lui interdisait de se rendre en Corse et d'entrer en contact avec ses co-mis en examen, de détenir une arme ou encore de quitter le territoire national. Il devait également fixer son domicile à Paris et y pointer de façon hebdomadaire.
Présenté par les autorités judiciaires et policières comme le chef de la bande criminelle du Petit Bar, Jacques Santoni a été mis en examen en janvier 2021 par un juge d'instruction de la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Marseille et écroué, notamment pour extorsion en bande organisée, blanchiment aggravé et association de malfaiteurs, dans le cadre d'une vaste enquête financière liée à cette bande criminelle.
Il a également été mis en examen dans le dossier de la tentative d'assassinat en 2018 à Ajaccio de Guy Orsoni, lui-même poursuivi dans des dossiers de banditisme.
Décrit comme "le commanditaire" et le "cerveau" de l'assassinat de l'avocat Antoine Sollacaro en 2012, il a été renvoyé dans ce dossier devant les assises des Bouches-du-Rhône, pour complicité d'homicide volontaire, selon un arrêt du 3 octobre 2022 de la chambre de l'instruction de la cour d'appel d'Aix-en-Provence.
Dans ce dossier, deux autres membres présumés du "Petit Bar" sont également renvoyés aux assises, André Bacchiolelli pour assassinat et Mickaël Ettori pour association de malfaiteurs en vue de la préparation de crimes.
La chambre de l'instruction de la cour d'appel d'Aix-en-Provence avait ordonné la remise en liberté du chef de bande présumé en septembre 2021 en raison d'un état de santé jugé incompatible avec la détention.
Avant cette décision, son contrôle judiciaire lui interdisait de se rendre en Corse et d'entrer en contact avec ses co-mis en examen, de détenir une arme ou encore de quitter le territoire national. Il devait également fixer son domicile à Paris et y pointer de façon hebdomadaire.
Présenté par les autorités judiciaires et policières comme le chef de la bande criminelle du Petit Bar, Jacques Santoni a été mis en examen en janvier 2021 par un juge d'instruction de la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Marseille et écroué, notamment pour extorsion en bande organisée, blanchiment aggravé et association de malfaiteurs, dans le cadre d'une vaste enquête financière liée à cette bande criminelle.
Il a également été mis en examen dans le dossier de la tentative d'assassinat en 2018 à Ajaccio de Guy Orsoni, lui-même poursuivi dans des dossiers de banditisme.
Décrit comme "le commanditaire" et le "cerveau" de l'assassinat de l'avocat Antoine Sollacaro en 2012, il a été renvoyé dans ce dossier devant les assises des Bouches-du-Rhône, pour complicité d'homicide volontaire, selon un arrêt du 3 octobre 2022 de la chambre de l'instruction de la cour d'appel d'Aix-en-Provence.
Dans ce dossier, deux autres membres présumés du "Petit Bar" sont également renvoyés aux assises, André Bacchiolelli pour assassinat et Mickaël Ettori pour association de malfaiteurs en vue de la préparation de crimes.
La chambre de l'instruction de la cour d'appel d'Aix-en-Provence avait ordonné la remise en liberté du chef de bande présumé en septembre 2021 en raison d'un état de santé jugé incompatible avec la détention.