Francis Rambert, commissaire de l’exposition, directeur de la création architecturale à la Cité de l’Architecture et du Patrimoine avec, à ses côtés, Katia Maïboroda-Cesari, directrice architecte DPLG et quelques invités de renom (Carles Llop Barcelone, Tania Concko urbaniste, Amterdam, Julien Choppin Paris, Julien Casalta et Pascale Gandoin De Zerbi, venus de Bastia, Luce Pozzo di Borgo, d’Ajaccio) étaient au rendez-vous dans le cadre des deuxièmes rencontres d’architectures.
Dans la salle du Palais des Congrès dédiée à cet effet, quelques personnalités politiques, des élus, des professionnels mais aussi quelques curieux. Il faut bien souligner l’importance de l’architecture dans notre société moderne. Tel était, justement, le préambule expliqué par Francis Rambert. « La transformation comme acte de création. » avant de se livrer à un bref historique de l’architecture. « Conserver, c’est transformer » utilisant, à cet effet, la pensée des architectes des USA. Comment transformer sans perdre les paysages, en respectant l’écologie et l’âme des lieux, tel sera, sans nulle doute, l’enjeu architectural majeur du XXIe siècle.
C’est, en tout cas ce qu’il est ressorti d’un débat particulièrement enrichissant…
Dans la salle du Palais des Congrès dédiée à cet effet, quelques personnalités politiques, des élus, des professionnels mais aussi quelques curieux. Il faut bien souligner l’importance de l’architecture dans notre société moderne. Tel était, justement, le préambule expliqué par Francis Rambert. « La transformation comme acte de création. » avant de se livrer à un bref historique de l’architecture. « Conserver, c’est transformer » utilisant, à cet effet, la pensée des architectes des USA. Comment transformer sans perdre les paysages, en respectant l’écologie et l’âme des lieux, tel sera, sans nulle doute, l’enjeu architectural majeur du XXIe siècle.
C’est, en tout cas ce qu’il est ressorti d’un débat particulièrement enrichissant…