Les parents d'élèves de l'école primaire de Santa-Reparata-di-Balagna se sont mobilisés lundi matin pour manifester leur mécontentement sur le fonctionnement du bilingue au sein de l'établissement scolaire.
A la Suite de la décision de la commission de la carte scolaire de rouvrir la classe bilingue à l'école "Albert-Camus" fermée avant la rentrée scolaire 2015/2016, l'enseignante qui était en poste l'année dernière et qui avait été affectée dans la commune voisine de Santa-Reparata-di-Balagna a fait valoir ses droits en demandant sa réintégration dans la cité paoline.
Le poste de Santa Reparata a été dans le même temps attribué à une jeune enseignante qui n'avait pas de formation bilingue, d'où le mécontentement des parents, appuyés dans leur démarche par de nombreux élus de la commune et villages environnants.
Ils étaient donc une quarantaine ce lundi matin à se présenter devant l'école en brandissant des banderoles.
"je n'arrive pas à comprendre l'Education Nationale qui ferme une classe à Ile-Rousse sous prétexte qu'il manque 2 élèves et qui déshabille Pierre pour habiller Paul. Nos enfants sont inscrits en bilingue et nous exigeons qu'ils reçoivent un enseignement qui corresponde à ce choix".
Du côté de l'Education Nationale, il y avait une réelle volonté de régler ce problème au plus vite
A 9 heures, une réunion à laquelle participaient notamment Patrick Salvatori, Inspecteur Départemental de l'Education Nationale, langue et culture Corse pour le secteur Corte-Balagne, Thérèse Tomasi, conseillère pédagogique et Marie-Noelle Francisci, directrice de l'école se tenait à l'école.
Au terme de deux heures de discussion, Patrick Salvatori annonçait qu'un accord avait été trouvé
" Au cours de cette réunion, nous avons recherché la meilleure solution, pour le bien-être des enfants.
En s'appuyant sur le modèle un enseignant - une langue qui fonctionne un peu de partout, Marie-Noëlle Francisci qui avait en charge les petites et moyennes sections a accepté, et je l'en remercie vivement, de prendre la direction des CE1 et CE2 tout en continuant à assurer les heures de Corse chez les plus petits. La jeune enseignante non corsophone effectuera le chemin inverse".
Les parents ont appris la bonne nouvelle avec satisfaction.
A la Suite de la décision de la commission de la carte scolaire de rouvrir la classe bilingue à l'école "Albert-Camus" fermée avant la rentrée scolaire 2015/2016, l'enseignante qui était en poste l'année dernière et qui avait été affectée dans la commune voisine de Santa-Reparata-di-Balagna a fait valoir ses droits en demandant sa réintégration dans la cité paoline.
Le poste de Santa Reparata a été dans le même temps attribué à une jeune enseignante qui n'avait pas de formation bilingue, d'où le mécontentement des parents, appuyés dans leur démarche par de nombreux élus de la commune et villages environnants.
Ils étaient donc une quarantaine ce lundi matin à se présenter devant l'école en brandissant des banderoles.
"je n'arrive pas à comprendre l'Education Nationale qui ferme une classe à Ile-Rousse sous prétexte qu'il manque 2 élèves et qui déshabille Pierre pour habiller Paul. Nos enfants sont inscrits en bilingue et nous exigeons qu'ils reçoivent un enseignement qui corresponde à ce choix".
Du côté de l'Education Nationale, il y avait une réelle volonté de régler ce problème au plus vite
A 9 heures, une réunion à laquelle participaient notamment Patrick Salvatori, Inspecteur Départemental de l'Education Nationale, langue et culture Corse pour le secteur Corte-Balagne, Thérèse Tomasi, conseillère pédagogique et Marie-Noelle Francisci, directrice de l'école se tenait à l'école.
Au terme de deux heures de discussion, Patrick Salvatori annonçait qu'un accord avait été trouvé
" Au cours de cette réunion, nous avons recherché la meilleure solution, pour le bien-être des enfants.
En s'appuyant sur le modèle un enseignant - une langue qui fonctionne un peu de partout, Marie-Noëlle Francisci qui avait en charge les petites et moyennes sections a accepté, et je l'en remercie vivement, de prendre la direction des CE1 et CE2 tout en continuant à assurer les heures de Corse chez les plus petits. La jeune enseignante non corsophone effectuera le chemin inverse".
Les parents ont appris la bonne nouvelle avec satisfaction.
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