Jean-Pierre Chevènement ne sait, sans doute, plus quoi faire pour prouver qu'il existe. On sait bien que ce qu'il dit n'est pas toujours avéré. Souvenez-vous du fameux mot : " L'homme qu'il faut à la place qu'il faut ".
Aujourd'hui il revient à la charge, avec la même veine, en montrant notamment du doigt nos confrères de France Bleu RCFM, de France 3 Corse, l'université, le rectorat. Et en accusant avec un déconcertant aplomb un homme, qui tombé tragiquement tombé sous les balles de froids tueurs, n'a pas encore été porté en terre. A l'évidence, l'ancien ministre de l'Intérieur n'a toujours pas empreinté le bon chemin du discernement.
Il ne faut donc pas s'étonner aujourd'hui du véritable tollé suscité par ses déclarations que l'on qualifiera poliment, ici, d'intempestives.
On ne va pas vous dire que Chevènement déraille, vous avez, sans doute, votre prope opinion sur le sujet, mais on doit bien reconnaître qu'il aime à jeter de l'huile sur le feu dans une région où l'on ne peut pas affirmer qu'il ait véritablement réussi.
C'est peut être ce qui le chiffonne. Oui Chevènement déraisonne. Et quand bien même serait-il responsable de ses propos farfelus, pourquoi lui tendre encore une oreille aussi attentive ? Lui prêter autant d'attention ? Lui accorder toujours tant de crédit.
Allez, coupons le micro, tout le monde s'en portera mieux !
Charles MONTI
Aujourd'hui il revient à la charge, avec la même veine, en montrant notamment du doigt nos confrères de France Bleu RCFM, de France 3 Corse, l'université, le rectorat. Et en accusant avec un déconcertant aplomb un homme, qui tombé tragiquement tombé sous les balles de froids tueurs, n'a pas encore été porté en terre. A l'évidence, l'ancien ministre de l'Intérieur n'a toujours pas empreinté le bon chemin du discernement.
Il ne faut donc pas s'étonner aujourd'hui du véritable tollé suscité par ses déclarations que l'on qualifiera poliment, ici, d'intempestives.
On ne va pas vous dire que Chevènement déraille, vous avez, sans doute, votre prope opinion sur le sujet, mais on doit bien reconnaître qu'il aime à jeter de l'huile sur le feu dans une région où l'on ne peut pas affirmer qu'il ait véritablement réussi.
C'est peut être ce qui le chiffonne. Oui Chevènement déraisonne. Et quand bien même serait-il responsable de ses propos farfelus, pourquoi lui tendre encore une oreille aussi attentive ? Lui prêter autant d'attention ? Lui accorder toujours tant de crédit.
Allez, coupons le micro, tout le monde s'en portera mieux !
Charles MONTI