Image d'archives CNI
C’est parti pour huit jours de festivités dans la capitale autour de l’agriculture corse. Après une année blanche à cause de la crise sanitaire, le salon international de l’agriculture revient à Paris Expo, porte de Versailles à Paris du 26 février au 6 mars. Comme chaque année, sous le chapiteau, dans le pavillon des régions, l’Ile-de-Beauté dispose d’une belle vitrine de 500 mètres carrés pour mettre en valeur les produits du terroir.
Là-bas, 70 producteurs seront représentés et pourront témoigner de leur savoir-faire aux 630 000 visiteurs du salon. Fromages, Brocciu, charcuterie, veau et agneau de lait, bovins, miel AOP, farine de châtaigne, huile d’olive, huîtres, bières, vins, jus, douceurs à la noisettes … seront dégustés sur place. « Nos producteurs mettront en lumière une Corse digne et respectueuse de sa terre, fière de ses origines mais tournée vers l’avenir ; une Corse qui a su conjuguer identité, modernité et qualité », assure Dominique Livrelli, président de l’Office du développement agricole et rural de Corse (ODARC).
Il y aura à boire et à manger mais aussi de quoi découvrir des huiles essentielles fabriquées sur l’île avec des produits locaux comme l’Immortelle, ou encore des cosmétiques au lait d’ânesse de race corse.
Un moment convivial
Pour cette 58ème édition, les Corses auront de beaux voisins. Les gourmands venus découvrir l’espace dédié à la Nouvelle-Aquitaine ou à l’Auvergne Rhône-Alpe et ses prestigieux AOP Cantal et Saint Nectaire, rejoindront rapidement les stands blanc, noir et vert- couleurs dédiées à l’île cette année. A partir de 17 heures, le groupe Attallà chantera et animera les apéritifs, tant convoités par les Corses de la diaspora qui se retrouvent et partagent un moment convivial.
Des ânes corses
Au Hall 6, les visiteurs pourront rencontrer Olivier Fondacci, éleveur et vice-président de l’Association nationale de l’âne et du mulet corse venu avec ses bêtes pour représenter la race insulaire qui a été labélisée et reconnue en 2020. Pour les curieux, le Hall 1 propose une rencontre avec l’organisme de sélection de la race « brebis corse » en partenariat avec le collectif des races locales des massifs (Coram). Les animaux, eux, manqueront au rendez-vous. « A cause de la fièvre catarrhale cela fait quelques années que nous n’emmenons plus de bêtes », déplore Claudine Bianchi, organisatrice de l’évènement pour l'Office du développement agricole et rural de Corse.
Là-bas, 70 producteurs seront représentés et pourront témoigner de leur savoir-faire aux 630 000 visiteurs du salon. Fromages, Brocciu, charcuterie, veau et agneau de lait, bovins, miel AOP, farine de châtaigne, huile d’olive, huîtres, bières, vins, jus, douceurs à la noisettes … seront dégustés sur place. « Nos producteurs mettront en lumière une Corse digne et respectueuse de sa terre, fière de ses origines mais tournée vers l’avenir ; une Corse qui a su conjuguer identité, modernité et qualité », assure Dominique Livrelli, président de l’Office du développement agricole et rural de Corse (ODARC).
Il y aura à boire et à manger mais aussi de quoi découvrir des huiles essentielles fabriquées sur l’île avec des produits locaux comme l’Immortelle, ou encore des cosmétiques au lait d’ânesse de race corse.
Un moment convivial
Pour cette 58ème édition, les Corses auront de beaux voisins. Les gourmands venus découvrir l’espace dédié à la Nouvelle-Aquitaine ou à l’Auvergne Rhône-Alpe et ses prestigieux AOP Cantal et Saint Nectaire, rejoindront rapidement les stands blanc, noir et vert- couleurs dédiées à l’île cette année. A partir de 17 heures, le groupe Attallà chantera et animera les apéritifs, tant convoités par les Corses de la diaspora qui se retrouvent et partagent un moment convivial.
Des ânes corses
Au Hall 6, les visiteurs pourront rencontrer Olivier Fondacci, éleveur et vice-président de l’Association nationale de l’âne et du mulet corse venu avec ses bêtes pour représenter la race insulaire qui a été labélisée et reconnue en 2020. Pour les curieux, le Hall 1 propose une rencontre avec l’organisme de sélection de la race « brebis corse » en partenariat avec le collectif des races locales des massifs (Coram). Les animaux, eux, manqueront au rendez-vous. « A cause de la fièvre catarrhale cela fait quelques années que nous n’emmenons plus de bêtes », déplore Claudine Bianchi, organisatrice de l’évènement pour l'Office du développement agricole et rural de Corse.