lemarin.fr écrit notamment que "Le MN Pélican, un roulier de la Compagnie maritime nantaise, attend depuis trois mois dans le port de La Seyne-sur-Mer de prendre la mer. Non pas qu’il soit en panne ou en manque de fret mais plutôt en manque… de grève."
Toujours selon notre confrère "Ce navire de la Compagnie maritime nantaise a été affrété le 24 novembre par l’Office des transports de la Corse, organisme public rattaché à la Collectivité territoriale de Corse, et confié en armement à la Compagnie méridionale de navigation. Le pavillon de la Méridionale flotte d’ailleurs sur le mât du roulier, arrivé en rade de Toulon le 18 novembre et amarré depuis le 5 décembre au môle croisière, à La Seyne-sur-Mer".
A l’époque, l’OTC avait expliqué au marin, qui avait révélé cette information, que le navire servait à pallier le passage successif en arrêt technique des trois navires de la Méridionale. L’OTC avait évoqué, selon lemarin.fr « un risque de désorganisation complète de la desserte au moment où démarre la campagne de 30 000 tonnes de clémentines ».
Sauf que jusqu’alors, ajoute notre confrère, aucun navire de la délégation de service public Marseille-Corse (dont la Méridionale et la SNCM sont cotitulaires) n’avait été remplacé lors d’un arrêt technique. Chacun avait bien compris alors, même si rien n’était dit officiellement, que le MN Pélican était affrété au cas où la SNCM, alors à la veille d’un redressement judiciaire (intervenu le 28 novembre 2014) s’arrêterait pour cause de grève."
Pour lemarin le navire "est affrêté au prix de 15 000 € par jour et donc "pour le contribuable, la facture dépasse alors déjà 1,25 million d’euros."
L'article complet sur lemarin
Toujours selon notre confrère "Ce navire de la Compagnie maritime nantaise a été affrété le 24 novembre par l’Office des transports de la Corse, organisme public rattaché à la Collectivité territoriale de Corse, et confié en armement à la Compagnie méridionale de navigation. Le pavillon de la Méridionale flotte d’ailleurs sur le mât du roulier, arrivé en rade de Toulon le 18 novembre et amarré depuis le 5 décembre au môle croisière, à La Seyne-sur-Mer".
A l’époque, l’OTC avait expliqué au marin, qui avait révélé cette information, que le navire servait à pallier le passage successif en arrêt technique des trois navires de la Méridionale. L’OTC avait évoqué, selon lemarin.fr « un risque de désorganisation complète de la desserte au moment où démarre la campagne de 30 000 tonnes de clémentines ».
Sauf que jusqu’alors, ajoute notre confrère, aucun navire de la délégation de service public Marseille-Corse (dont la Méridionale et la SNCM sont cotitulaires) n’avait été remplacé lors d’un arrêt technique. Chacun avait bien compris alors, même si rien n’était dit officiellement, que le MN Pélican était affrété au cas où la SNCM, alors à la veille d’un redressement judiciaire (intervenu le 28 novembre 2014) s’arrêterait pour cause de grève."
Pour lemarin le navire "est affrêté au prix de 15 000 € par jour et donc "pour le contribuable, la facture dépasse alors déjà 1,25 million d’euros."
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