Le chercheur Laurent Mucchielli.
- Qu'est ce que c'est la Doxa ?
- La doxa est le discours des élites dominantes cherchant à justifier leur domination. Il s’agit d’un concept popularisé par le sociologue Pierre Bourdieu.
- Pourquoi ce livre ?
- Le monde vit depuis février 2020 une crise sans précédent. L’explication officielle en est l’émergence d’un virus extrêmement dangereux provoquant une pandémie devant laquelle les gouvernements n’auraient pas eu d’autre choix que de confiner la totalité des populations en attendant qu’un vaccin nous délivre tous.
- Comment votre enquête s’est-elle déroulée ?
- J'ai commencé cette enquête sur la gestion politico-sanitaire de la crise dès mars 2020, en fédérant progressivement une équipe d'une quarantaine de chercheurs et de médecins. Nous avons notamment étudié en détail les données statistiques, synthétisé la littérature scientifique, principalement anglo-saxonne, montré qu'il existe des traitements précoces efficaces, dénoncé la diversion qu'a constitué la polémique autour de Didier Raoult et de l'IHU de Marseille, critiqué le traitement médiatique de la plupart de ces questions.
- Vous y contestez effectivement beaucoup de choses ?
- En effet, je conteste de nombreux aspects de la gestion de cette crise. J'analyse le gouvernement par la peur, les manipulations statistiques, la corruption organisée par les industries pharmaceutiques en direction du monde médical comme du monde politique, et la politique liberticide du gouvernement ainsi que ce que j'appelle désormais la "religion vaccinale".
- Parlons du virus…
- Dans ce livre je montre que le virus n’est pas en soi si redoutable, que des traitements précoces existent et sauvent des vies, que les confinements font beaucoup plus de mal que de bien aux sociétés, et que les nouveaux “vaccins” fabriqués en urgence sont des produits peu efficaces et parfois dangereux, destinés prioritairement à faire la fortune de leurs fabricants.
- La doxa est le discours des élites dominantes cherchant à justifier leur domination. Il s’agit d’un concept popularisé par le sociologue Pierre Bourdieu.
- Pourquoi ce livre ?
- Le monde vit depuis février 2020 une crise sans précédent. L’explication officielle en est l’émergence d’un virus extrêmement dangereux provoquant une pandémie devant laquelle les gouvernements n’auraient pas eu d’autre choix que de confiner la totalité des populations en attendant qu’un vaccin nous délivre tous.
- Comment votre enquête s’est-elle déroulée ?
- J'ai commencé cette enquête sur la gestion politico-sanitaire de la crise dès mars 2020, en fédérant progressivement une équipe d'une quarantaine de chercheurs et de médecins. Nous avons notamment étudié en détail les données statistiques, synthétisé la littérature scientifique, principalement anglo-saxonne, montré qu'il existe des traitements précoces efficaces, dénoncé la diversion qu'a constitué la polémique autour de Didier Raoult et de l'IHU de Marseille, critiqué le traitement médiatique de la plupart de ces questions.
- Vous y contestez effectivement beaucoup de choses ?
- En effet, je conteste de nombreux aspects de la gestion de cette crise. J'analyse le gouvernement par la peur, les manipulations statistiques, la corruption organisée par les industries pharmaceutiques en direction du monde médical comme du monde politique, et la politique liberticide du gouvernement ainsi que ce que j'appelle désormais la "religion vaccinale".
- Parlons du virus…
- Dans ce livre je montre que le virus n’est pas en soi si redoutable, que des traitements précoces existent et sauvent des vies, que les confinements font beaucoup plus de mal que de bien aux sociétés, et que les nouveaux “vaccins” fabriqués en urgence sont des produits peu efficaces et parfois dangereux, destinés prioritairement à faire la fortune de leurs fabricants.
- Un livre qui va certainement déranger beaucoup de monde ...
- Cette enquête, indépendante, va sûrement déranger. Elle montre que les industries pharmaceutiques organisent depuis des années une corruption méthodique, que des fondations privées comme celle de Bill Gates exercent une influence majeure sur les politiques mondiales de santé, que les géants du numérique comme Google ou Facebook, perfectionnent le contrôle de nos pensées, que les responsables politiques sont totalement dépassés, que les journalistes ont perdu tant leur indépendance que leur capacité d’informer, tout cela menant à des politiques qui piétinent nombre de libertés et droits fondamentaux et créent de nouvelles discriminations, mettant ainsi à mal la démocratie.
- Sur la couverture est écrit « Tome 1 ». Il y a aura donc une suite ?
- Oui, et le tome 2 est à paraître fin février, toujours aux éditions Eoliennes de Xavier Dandoy de Casabianca. Il s’agira d’un gros livre collectif, sous ma direction, avec 40 chapitres et 30 auteurs, chercheurs ou médecins pour la plupart.
Quelques mots sur l'auteur
Originaire de par son père de Ghisoni, Laurent Mucchielli est directeur de recherche au CNRS, rattaché à l'université d'Aix-Marseille. Il est aussi, entre autres, membre du Conseil de laboratoire, membre du Conseil scientifique de l’École Doctorale 355, directeur du programme de recherche « Observatoire Régional de la Délinquance et des Contextes Sociaux », Co animateur du Séminaire de recherche "La criminalité environnementale. État des lieux et perspectives" (2020 à 2022) ou encore coresponsable du projet "L’application du droit de l’environnement : le cas des pollutions industrielles dans le bassin minier de Provence" (2020 à 2022).
S'il vit à Bastia depuis un an, il est toujours rattaché administrativement à l'université d'Aix-Marseille et continue à travailler sur les thèmes de spécialité anciens, en particulier la prévention de la délinquance.
On l’aura compris, ses domaines de recherches concernent sociologie de la délinquance et de l’action publique, l’histoire et l’épistémologie des sciences sociales, la criminalité environnementale et la santé publique. Récemment il a mené une enquête sur la gestion politico-sanitaire de la crise de la Covid-19 …
En 2004, il a reçu le Prix Denis Szabo du meilleur article publié dans la revue Criminologie et en 2006 la médaille de bronze du CNRS en 2006 (Sociologie). Il est le fondateur et ancien co-directeur (1999-2009) de la Revue d’histoire des sciences humaines. Enfin, il a publié de très nombreux ouvrages et collaboré à plusieurs films.
En ce mois de janvier, il vient donc de publier cet ouvrage qui va certainement faire couler beaucoup d’encre : « La Doxa du Covid ».
S'il vit à Bastia depuis un an, il est toujours rattaché administrativement à l'université d'Aix-Marseille et continue à travailler sur les thèmes de spécialité anciens, en particulier la prévention de la délinquance.
On l’aura compris, ses domaines de recherches concernent sociologie de la délinquance et de l’action publique, l’histoire et l’épistémologie des sciences sociales, la criminalité environnementale et la santé publique. Récemment il a mené une enquête sur la gestion politico-sanitaire de la crise de la Covid-19 …
En 2004, il a reçu le Prix Denis Szabo du meilleur article publié dans la revue Criminologie et en 2006 la médaille de bronze du CNRS en 2006 (Sociologie). Il est le fondateur et ancien co-directeur (1999-2009) de la Revue d’histoire des sciences humaines. Enfin, il a publié de très nombreux ouvrages et collaboré à plusieurs films.
En ce mois de janvier, il vient donc de publier cet ouvrage qui va certainement faire couler beaucoup d’encre : « La Doxa du Covid ».