Marc Canonne (à gauche) aux côtés de Jean-Claude Bonugli
A ce sacré bonhomme toujours souriant, affable, journaliste dans l’âme, ami de longue date et partenaire en rallye, tous les rallyes de la Corse, ce Tour de Corse qu’il adorait et qu’il ne manquait pour rien au monde. Ce Tour des retrouvailles avec Jacques et Colette Foulon de Pirelli France, Jean-Claude Bonugli de la Marseillaise, Gérard Petitjean de Var Matin et du Provençal, moi-même, José De Nobili, Jacques Issautier et Marc Henekine, ces deux derniers décédés, la grosse équipe quoi, qui se retrouvait tous les ans au PC presse du Tour dans une ambiance facile à imaginer.
Marc Canonne s’en est allé rejoindre tous les confrères qui nous ont quittés, tout comme Jacques Foulon l’an dernier. Il est allé à son tour les retrouver là-haut, dans un monde que l’on dit meilleur. Difficile de l’admettre mais la réalité, la triste réalité est là pour nous faire souffrir d’une telle disparition. Dès lors, tous les souvenirs, sans exception, remontent à la surface et l’image de Marc nous apparaît.
Marc était un grand journaliste du sport en général et de l’automobile en particulier. Au sortir de sa carrière de footballeur au Paris-Neuilly avec Ilija Pantelic notamment, il a rejoint la rédaction sportive au siège de Nice-Matin où il officie depuis plusieurs décennies avant de prendre une retraite ô combien méritée pour être plus près de son épouse, Annie-Claude et de ses enfants, Steeve et Gregory, ce dernier papa d’une petite Lola, le grand amour, le grand bonheur de Marc.
Marc Canonne, peu avant sa retraite, avait rejoint l’agence de Monaco et peu après était en charge de la communication auprès de l’ASA Monaco, organisatrice de la manche du championnat du monde des rallyes. Il été décoré l’année dernière de la médaille du Mérite Sportif par le Prince Albert de Monaco avec qui il entretenait des relations amicales.
On retiendra de Marc Canonne les titres qui faisaient la Une de Nice-Matin lorsqu’il s’agissait de parler de ses amis pilotes. Il leur avait trouvé un nom à tous. Je me rappelle que, dans ses papiers, Jean-Claude Andruet était « Pilote Panache », Yves Loubet devennait le « Rambo du Maquis » ou encore Bernard Béguin « l’élégant » etc…
Autre moment de bonheur avec « l’équipe du Tour de Corse », les sorties sur les spéciales, chacune d’entre elles assez proche d’un restaurant où l'on dégustait les lentilles de Madame Cirelli à Vivario, l’agneau chez Pascal à Cuttoli, et le poisson chez Michel au Ricanto, sans oublier une bonne soupe de haricots chez René Orlandazzi au pont de Pisciatello.
Nous voilà donc sans Marc, sans notre ami de 40 ans, tous KO debout en apprenant la triste nouvelle, celle qui fait mal.
A Annie-Claude, Grégory, Steeve, la petite Lola, nous présentons nos condoléances émues. Qu’ils sachent tous, que nous sommes à leurs côtés dans ces moments de grande tristesse.
Adieu l’ami !
J. F.
Marc Canonne s’en est allé rejoindre tous les confrères qui nous ont quittés, tout comme Jacques Foulon l’an dernier. Il est allé à son tour les retrouver là-haut, dans un monde que l’on dit meilleur. Difficile de l’admettre mais la réalité, la triste réalité est là pour nous faire souffrir d’une telle disparition. Dès lors, tous les souvenirs, sans exception, remontent à la surface et l’image de Marc nous apparaît.
Marc était un grand journaliste du sport en général et de l’automobile en particulier. Au sortir de sa carrière de footballeur au Paris-Neuilly avec Ilija Pantelic notamment, il a rejoint la rédaction sportive au siège de Nice-Matin où il officie depuis plusieurs décennies avant de prendre une retraite ô combien méritée pour être plus près de son épouse, Annie-Claude et de ses enfants, Steeve et Gregory, ce dernier papa d’une petite Lola, le grand amour, le grand bonheur de Marc.
Marc Canonne, peu avant sa retraite, avait rejoint l’agence de Monaco et peu après était en charge de la communication auprès de l’ASA Monaco, organisatrice de la manche du championnat du monde des rallyes. Il été décoré l’année dernière de la médaille du Mérite Sportif par le Prince Albert de Monaco avec qui il entretenait des relations amicales.
On retiendra de Marc Canonne les titres qui faisaient la Une de Nice-Matin lorsqu’il s’agissait de parler de ses amis pilotes. Il leur avait trouvé un nom à tous. Je me rappelle que, dans ses papiers, Jean-Claude Andruet était « Pilote Panache », Yves Loubet devennait le « Rambo du Maquis » ou encore Bernard Béguin « l’élégant » etc…
Autre moment de bonheur avec « l’équipe du Tour de Corse », les sorties sur les spéciales, chacune d’entre elles assez proche d’un restaurant où l'on dégustait les lentilles de Madame Cirelli à Vivario, l’agneau chez Pascal à Cuttoli, et le poisson chez Michel au Ricanto, sans oublier une bonne soupe de haricots chez René Orlandazzi au pont de Pisciatello.
Nous voilà donc sans Marc, sans notre ami de 40 ans, tous KO debout en apprenant la triste nouvelle, celle qui fait mal.
A Annie-Claude, Grégory, Steeve, la petite Lola, nous présentons nos condoléances émues. Qu’ils sachent tous, que nous sommes à leurs côtés dans ces moments de grande tristesse.
Adieu l’ami !
J. F.