Le FLNC 76, a invité CNI à une conférence de presse clandestine dans un village de Castagniccia ce mercredi 28 octobre. Deux hommes vêtus de noir, cagoulés se sont présentés devant la journaliste. L'un d'entre eux porte une arme lourde qu'il pose ensuite au sol. Communiqué de presse dans la main droite, pistolet dans la main gauche l'homme l'assure : "Il y a dix personnes aujourd'hui, ils sont cachés et vous observent".
Si le groupe clandestin a convoqué la presse à quelques heures d'un reconfinement probable, c'est pour dénoncer "l'inaction et l'incapacité de l'Etat français dans la gestion de la crise de Covid-19". Manque de lits en réanimation à l'hôpital de Bastia, manque de moyens pour l'établissement public... pour les clandestins, le constat est lourd. Le FLNC 76 demande à la Cour européenne des droits de l'Hommes la construction d'un hôpital spécial Covid-19. Il fait également appel à l'institution pour mettre un terme à la détention de Jean-Pierre Santini, militant nationaliste et écrivain de 76 ans, incarcéré à Fresnes depuis le 10 octobre dans le cadre d'une enquête pour des tirs visant une gendarmerie en Corse.
Les hommes du FLNC 76 évoquent également l'islamisme radical sur l'île et incite "leurs amis musulmans de Corse à les informer de toute suspicion de fascistes islamistes."
Les hommes qui se revendiquent des "anciens des années 2000", excluent, en outre, un reconfinement de l'île : "On va vers la fin de l'économie insulaire. Il y a un virus, mais il faut que la vie continue". Ils en appellent au "réveil du peuple" . Ainsi, le groupe clandestin qui avait rendu les armes en 2014 l'annonce : "on ne se contentera plus de simples apparitions".
Mais seront-elles armées ? "Le temps vous le dira...", rétorque l'homme cagoulé.
(Cliquez sur la photo pour lire l'intégralité du communiqué)
Si le groupe clandestin a convoqué la presse à quelques heures d'un reconfinement probable, c'est pour dénoncer "l'inaction et l'incapacité de l'Etat français dans la gestion de la crise de Covid-19". Manque de lits en réanimation à l'hôpital de Bastia, manque de moyens pour l'établissement public... pour les clandestins, le constat est lourd. Le FLNC 76 demande à la Cour européenne des droits de l'Hommes la construction d'un hôpital spécial Covid-19. Il fait également appel à l'institution pour mettre un terme à la détention de Jean-Pierre Santini, militant nationaliste et écrivain de 76 ans, incarcéré à Fresnes depuis le 10 octobre dans le cadre d'une enquête pour des tirs visant une gendarmerie en Corse.
Les hommes du FLNC 76 évoquent également l'islamisme radical sur l'île et incite "leurs amis musulmans de Corse à les informer de toute suspicion de fascistes islamistes."
Les hommes qui se revendiquent des "anciens des années 2000", excluent, en outre, un reconfinement de l'île : "On va vers la fin de l'économie insulaire. Il y a un virus, mais il faut que la vie continue". Ils en appellent au "réveil du peuple" . Ainsi, le groupe clandestin qui avait rendu les armes en 2014 l'annonce : "on ne se contentera plus de simples apparitions".
Mais seront-elles armées ? "Le temps vous le dira...", rétorque l'homme cagoulé.
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