Soit l'Etat français prend la mesure de l'effet désastreux de sa gestion de la Corse depuis deux siècles et demi et il en tire toutes les conséquences, soit il poursuit son rôle actif dans la destruction de notre peuple, et dans ce cas, nous reprendrons les armes pour que la France reconnaisse nos droits nationaux".
C'est la partie du communiqué dans laquelle le FLNC annonce clairement ses intentions.
Le FLNC, qui s'est adressé à nos confrères de RCFM pour faire passer son message, dresse dans le même temps un constat : "Jamais, nous n'avons connu un tel chaos" , et stigmatise le développement de "la voyoucratie instrumentalisée par l'Etat pour combattre le nationalisme."
"La France reste à ce jour un Etat colonisateur, et les élus corses, étant pour la plupart spectateurs ou complices" ajoute le FLNC qui dénonce une fois encore "l'attitude ultra jacobine de la France"
Cette communication intervient au moment même où le ministre de l'Intérieur Manuel Valls en visite en Corse joue les VRP pour le gouvernement de Jean-Marc Ayrault.
"Nous ne nous laisserons jamais impressionner par les menaces", a réagi, un peu plus tard, le ministre, interrogé par la presse, soulignant que ce communiqué mérite d'être "analysé". "Il n'y aura pas la moindre négociation sous le diktat des menaces et des bombes", a-t-il ajouté.
C'est la partie du communiqué dans laquelle le FLNC annonce clairement ses intentions.
Le FLNC, qui s'est adressé à nos confrères de RCFM pour faire passer son message, dresse dans le même temps un constat : "Jamais, nous n'avons connu un tel chaos" , et stigmatise le développement de "la voyoucratie instrumentalisée par l'Etat pour combattre le nationalisme."
"La France reste à ce jour un Etat colonisateur, et les élus corses, étant pour la plupart spectateurs ou complices" ajoute le FLNC qui dénonce une fois encore "l'attitude ultra jacobine de la France"
Cette communication intervient au moment même où le ministre de l'Intérieur Manuel Valls en visite en Corse joue les VRP pour le gouvernement de Jean-Marc Ayrault.
"Nous ne nous laisserons jamais impressionner par les menaces", a réagi, un peu plus tard, le ministre, interrogé par la presse, soulignant que ce communiqué mérite d'être "analysé". "Il n'y aura pas la moindre négociation sous le diktat des menaces et des bombes", a-t-il ajouté.