Lancée par Pierre-Marie Geronimi, et célébrée par le grand ordonnateur Mathieu Cesari (notre vidéo), la grand-messe a permis, à jeudi soir à Marc Simeoni de disséquer durant près de 40 minutes ce projet qui veut mettre en avant non seulement le Sporting mais aussi et surtout la Corse pour ramener l'un et l'autre au niveau européen.
Et cela passe par une série de décisions, de dispositions, d'orientations qui seraient trop longues à vous expliquer ici, mais qui sont indispensables, ainsi que le disait Mathieu Cesari dans sa présentation, pour permettre au Sporting, à la croisée des chemins, après le succès connu par "Franchemu u passu", d'adosser le club ou de s'adosser à " A Corsica Vince". Pour aller, sur tous les plans, plus en avant encore
On vous reparlera bien sûr de cette "feuille de route" qui, ainsi que l'a relevé Marc Simeoni, constitue un véritable engagement de la part de ceux qui ont décidé de relever le club, sur les chantiers fondamentaux qui conditionnent l'avenir du Sporting pour les 5 ans à venir (la formation, les relations avec l'ensemble des partenaires, le stade).
Ce projet "s'impose aujourd'hui au Sporting pour s'installer durablement dans l'élite, c'est aussi une réponse complète et technique, qui devra pemettre, demain, au club d'être en phase avec les exigences toujours plus pointues de la Ligue 1 sur le plan sportif et sur le plan écononomique".
"A Corsica vince" est un outil innovant. "Parce que dans la plupart des grands clubs français, on recherche bien plus des business plan pour convaincre banquiers et actionnaires. On n 'y verra jamais un projet comme celui qui rassemble ceux qui veulent faire vivre le slogan "uniti", un projet qui est ouvert à tous ceux qui veulent appuyer le Sporting, un projet qui engage ses administrateurs vis à vis du territoire."
"Ce projet est porteur d'une thématique nouvelle, celle de la responsabilité du Sporting dans sa performance de bénéficier à sa terre, à ses supporters, à ses entreprises, qui se retrouvera dans quelques années au cœur de la problématique du football."
"Mais ce projet n'est pas une une collection de vœux pieux. C'est un document qui rentre dans le détail, qui s'engage sur des actions précises, avec des délais, des indicateurs de réalisation et des responsables. Un document opérationnel" a encore martelé Marc Simeoni devant toute la salle acquise à la nouvelle cause du Sporting.
Et cela passe par une série de décisions, de dispositions, d'orientations qui seraient trop longues à vous expliquer ici, mais qui sont indispensables, ainsi que le disait Mathieu Cesari dans sa présentation, pour permettre au Sporting, à la croisée des chemins, après le succès connu par "Franchemu u passu", d'adosser le club ou de s'adosser à " A Corsica Vince". Pour aller, sur tous les plans, plus en avant encore
On vous reparlera bien sûr de cette "feuille de route" qui, ainsi que l'a relevé Marc Simeoni, constitue un véritable engagement de la part de ceux qui ont décidé de relever le club, sur les chantiers fondamentaux qui conditionnent l'avenir du Sporting pour les 5 ans à venir (la formation, les relations avec l'ensemble des partenaires, le stade).
Ce projet "s'impose aujourd'hui au Sporting pour s'installer durablement dans l'élite, c'est aussi une réponse complète et technique, qui devra pemettre, demain, au club d'être en phase avec les exigences toujours plus pointues de la Ligue 1 sur le plan sportif et sur le plan écononomique".
"A Corsica vince" est un outil innovant. "Parce que dans la plupart des grands clubs français, on recherche bien plus des business plan pour convaincre banquiers et actionnaires. On n 'y verra jamais un projet comme celui qui rassemble ceux qui veulent faire vivre le slogan "uniti", un projet qui est ouvert à tous ceux qui veulent appuyer le Sporting, un projet qui engage ses administrateurs vis à vis du territoire."
"Ce projet est porteur d'une thématique nouvelle, celle de la responsabilité du Sporting dans sa performance de bénéficier à sa terre, à ses supporters, à ses entreprises, qui se retrouvera dans quelques années au cœur de la problématique du football."
"Mais ce projet n'est pas une une collection de vœux pieux. C'est un document qui rentre dans le détail, qui s'engage sur des actions précises, avec des délais, des indicateurs de réalisation et des responsables. Un document opérationnel" a encore martelé Marc Simeoni devant toute la salle acquise à la nouvelle cause du Sporting.
Avant donc d'être mis en œuvre "A Corsica Vince" a obtenu l'adhésion des dirigeants, des supporters et des cadres techniques du club comme Frédéric Hantz, qui, flanqué de son capitaine Yannick Cahuzac et son vice-capitaine Mikaël Landreau, est venu, à son tour, sur les planches dire tout le bien dont il pensait du projet qui s'ébranle aujourd'hui.
Une occasion aussi pour l'entraîneur bastiais, qui a présenté ses 22 joueurs, son staff etc, et pour Landreau et Cahuzac de dire tout leur attachement pour le club, pour ses supporters, son environnement.
Et puis après deux ultimes remarques de Mathieu Cesari, dédiées à la Ligue de football professionnel pour sa non décision dans l'affaire Touré, et un avertissement à l'OM avant sa venue à Furiani le 21 Septembre, Jojo Bonavita est monté, à son tour sur scène, pour avec le public et tout l'effectif du Sporting (notre vidéo), entonner le célèbre "Allez les bleus."
Une occasion aussi pour l'entraîneur bastiais, qui a présenté ses 22 joueurs, son staff etc, et pour Landreau et Cahuzac de dire tout leur attachement pour le club, pour ses supporters, son environnement.
Et puis après deux ultimes remarques de Mathieu Cesari, dédiées à la Ligue de football professionnel pour sa non décision dans l'affaire Touré, et un avertissement à l'OM avant sa venue à Furiani le 21 Septembre, Jojo Bonavita est monté, à son tour sur scène, pour avec le public et tout l'effectif du Sporting (notre vidéo), entonner le célèbre "Allez les bleus."