La position du Sporting.
"Le Sporting Club de Bastia a pris connaissance par voie de presse des décisions prises par le conseil communautaire de la Communauté d’Agglomération de Bastia à propos de l’utilisation du stade Armand-Cesari.
Le comité directeur du SCB estime que les conditions imposées sont inacceptables en tous points, puisqu’elles conduiraient à la ruine du club.
Nous tenons à rappeler que la convention d’occupation du 5 aout 1994, qui en 20 ans n’a jamais été dénoncée par la CAB, a été transmise à la SAOS SC BASTIA puis à la SASP SC BASTIA, en totale conformité avec les dispositions du code du sport. Ces actes ont été communiqués à la Préfecture, qui les a avalisés.
Dans sa communication, la CAB estime ensuite le montant total des frais de fonctionnement annuels du stade à près d’1 million d’€.
Utilisateurs permanents du stade depuis des décennies, nous pouvons affirmer que l’entretien de l’enceinte, qui est aujourd’hui entièrement à notre charge, n’atteint même pas la moitié du montant annoncé.
C’est pourquoi nous estimons aujourd’hui que la proposition surnaturelle qui nous est faite pour ledit entretien, soit la somme de 700 000 €, serait et nous insistons sur ce point, ruineuse à très court terme pour le Sporting.
Prenant acte des nombreuses communications de la CAB qui a répété à plusieurs reprises son intention « de ne plus investir un euro supplémentaire dans les infrastructures de Furiani », le SCB réitère aujourd’hui sa volonté de signer un bail emphytéotique de longue durée.
Loin de faire perdre à la collectivité la possession de son ouvrage, cette solution en permettra au contraire un développement nécessaire, correspondant aux exigences du football de très haut niveau et conforme aux attentes du public d’Armand-Cesari."
"Le Sporting Club de Bastia a pris connaissance par voie de presse des décisions prises par le conseil communautaire de la Communauté d’Agglomération de Bastia à propos de l’utilisation du stade Armand-Cesari.
Le comité directeur du SCB estime que les conditions imposées sont inacceptables en tous points, puisqu’elles conduiraient à la ruine du club.
Nous tenons à rappeler que la convention d’occupation du 5 aout 1994, qui en 20 ans n’a jamais été dénoncée par la CAB, a été transmise à la SAOS SC BASTIA puis à la SASP SC BASTIA, en totale conformité avec les dispositions du code du sport. Ces actes ont été communiqués à la Préfecture, qui les a avalisés.
Dans sa communication, la CAB estime ensuite le montant total des frais de fonctionnement annuels du stade à près d’1 million d’€.
Utilisateurs permanents du stade depuis des décennies, nous pouvons affirmer que l’entretien de l’enceinte, qui est aujourd’hui entièrement à notre charge, n’atteint même pas la moitié du montant annoncé.
C’est pourquoi nous estimons aujourd’hui que la proposition surnaturelle qui nous est faite pour ledit entretien, soit la somme de 700 000 €, serait et nous insistons sur ce point, ruineuse à très court terme pour le Sporting.
Prenant acte des nombreuses communications de la CAB qui a répété à plusieurs reprises son intention « de ne plus investir un euro supplémentaire dans les infrastructures de Furiani », le SCB réitère aujourd’hui sa volonté de signer un bail emphytéotique de longue durée.
Loin de faire perdre à la collectivité la possession de son ouvrage, cette solution en permettra au contraire un développement nécessaire, correspondant aux exigences du football de très haut niveau et conforme aux attentes du public d’Armand-Cesari."