La manifestation, présidée par Paul Giudicelli, adjoint au maire, délégué au tourisme et au sport, s'inscrivait dans le cadre du projet Tourrenia dont le tourisme et le développement durable sont les axes fondamentaux.
Quoi de mieux, dès lors, que le cyclotourisme pour valoriser l'un et l'autre ?
D'autant que l'évènement se déroule à quelques mois du départ du centième Tour de France dont on sait que Bastia sera ville étape.
La thématique du tourisme à vélo s'imposait donc naturellement à l'office du tourisme de l'agglomération bastiaise.
"Nous n'avons eu que des échos favorables et nous avons dû refuser des inscriptions qui s'adressaient essentiellement aux professionnels du tourisme" soulignait vendredi matin Véronique Calendini, la directrice de l'office.
Pourtant le cyclotourisme n'est qu'à l'état emryonnaire en Corse et à l'inverse des pays du Benelux et du Nord, il n'est pas dans notre culture".
Il est vrai que la topographie ne se prête pas à l'exercice.
" Mais en imaginant des voies douces, comme celle que la municipalité projette à Bastia, ou des voies vertes ailleurs, la discipline peut espérer prospérer".
En tout cas, le colloque de vendredi matin a fait salle pleine au musée.
"Il y a des gens qui sont venus des quatre coins de Corse. De Porto-Vecchio, avec le président du comité régional du cyclisme, de Propriano. Il y aussi des enseignants-chercheurs de l'université de Corse avec leurs étudiants en Master de développement durable."
L’agence du Tourisme de la Corse, les offices de tourisme, la ligue corse de cyclotourisme, le comité régional de cyclisme, des prestataires spécialisés dans le cyclotourisme, l’université de corse, des hôteliers etc, autant de professionnels qui ont répondu à l’invitation de l’Office de Tourisme de l’Agglomération de Bastia pour un rendez-vous qui a été placé sous le signe de l’échange et de la coopération transfrontalière et qui a permis, ce n'est pas le moins important, de faire avancer le cyclotourisme sur des voies douces, ainsi que la ville l'envisage, mais aussi sur des voies qui feraient encore mieux connaître notre patrimoine.
C'est ça le cyclotourisme !
Quoi de mieux, dès lors, que le cyclotourisme pour valoriser l'un et l'autre ?
D'autant que l'évènement se déroule à quelques mois du départ du centième Tour de France dont on sait que Bastia sera ville étape.
La thématique du tourisme à vélo s'imposait donc naturellement à l'office du tourisme de l'agglomération bastiaise.
"Nous n'avons eu que des échos favorables et nous avons dû refuser des inscriptions qui s'adressaient essentiellement aux professionnels du tourisme" soulignait vendredi matin Véronique Calendini, la directrice de l'office.
Pourtant le cyclotourisme n'est qu'à l'état emryonnaire en Corse et à l'inverse des pays du Benelux et du Nord, il n'est pas dans notre culture".
Il est vrai que la topographie ne se prête pas à l'exercice.
" Mais en imaginant des voies douces, comme celle que la municipalité projette à Bastia, ou des voies vertes ailleurs, la discipline peut espérer prospérer".
En tout cas, le colloque de vendredi matin a fait salle pleine au musée.
"Il y a des gens qui sont venus des quatre coins de Corse. De Porto-Vecchio, avec le président du comité régional du cyclisme, de Propriano. Il y aussi des enseignants-chercheurs de l'université de Corse avec leurs étudiants en Master de développement durable."
L’agence du Tourisme de la Corse, les offices de tourisme, la ligue corse de cyclotourisme, le comité régional de cyclisme, des prestataires spécialisés dans le cyclotourisme, l’université de corse, des hôteliers etc, autant de professionnels qui ont répondu à l’invitation de l’Office de Tourisme de l’Agglomération de Bastia pour un rendez-vous qui a été placé sous le signe de l’échange et de la coopération transfrontalière et qui a permis, ce n'est pas le moins important, de faire avancer le cyclotourisme sur des voies douces, ainsi que la ville l'envisage, mais aussi sur des voies qui feraient encore mieux connaître notre patrimoine.
C'est ça le cyclotourisme !