A l'aube de son septième jour de grève de la faim, très affaibli, Dominique Campana, artiste-verrier en conflit avec son assureur, à la suite d'un dégât sur ses fours de production en août 2015, a été contraint et forcé ce lundi matin de renoncer et accepter de se laisser se faire prendre en charge par les pompiers.
La veille déjà, un médecin, venu sur place pour l'ausculter, avait constaté l'état de faiblesse de Dominique Campana.
Déterminé à aller au bout, installé devant l'agence locale de son assurance, Dominique Campana a, dans un premier temps, refusé toute aide. Mais, après une nuit glaciale et de violents orages, s'en été trop pour l'artiste-verrier qui a accepté les secours, mettant ainsi, contre son gré, un terme à cette grève de la faim.
Rappelons que depuis août 2015, date à laquelle ses fours de production ont été endommagés, Dominique Campana s'est rapproché de son assurance pour se faire indemniser.
Persuadé d'être dans son bon droit, aujourd'hui, soit deux ans après les faits, il est opposé à son assurance qui refuse de l'indemniser comme il souhaiterait l'être.
Les positions des deux parties ont largement été exposées dans nos colonnes et il ne nous appartient pas de juger.
Aujourd'hui, ce dossier est entre les mains de la justice et elle seule est habilitée à le faire.
L'affaire sera du reste examinée le mois prochain lors d'une prochaine audience du tribunal.
Pour l'heure Dominique Campana se remet lentement de ces 6 jours de grève de la faim mais ne met pas pour autant un terme à son combat.
L'agence locale d'assurance où Dominique Campana avait choisi de s'installer pour observer cette grève de la faim, a rouvert ses portes comme prévu ce matin. lundi.
La veille déjà, un médecin, venu sur place pour l'ausculter, avait constaté l'état de faiblesse de Dominique Campana.
Déterminé à aller au bout, installé devant l'agence locale de son assurance, Dominique Campana a, dans un premier temps, refusé toute aide. Mais, après une nuit glaciale et de violents orages, s'en été trop pour l'artiste-verrier qui a accepté les secours, mettant ainsi, contre son gré, un terme à cette grève de la faim.
Rappelons que depuis août 2015, date à laquelle ses fours de production ont été endommagés, Dominique Campana s'est rapproché de son assurance pour se faire indemniser.
Persuadé d'être dans son bon droit, aujourd'hui, soit deux ans après les faits, il est opposé à son assurance qui refuse de l'indemniser comme il souhaiterait l'être.
Les positions des deux parties ont largement été exposées dans nos colonnes et il ne nous appartient pas de juger.
Aujourd'hui, ce dossier est entre les mains de la justice et elle seule est habilitée à le faire.
L'affaire sera du reste examinée le mois prochain lors d'une prochaine audience du tribunal.
Pour l'heure Dominique Campana se remet lentement de ces 6 jours de grève de la faim mais ne met pas pour autant un terme à son combat.
L'agence locale d'assurance où Dominique Campana avait choisi de s'installer pour observer cette grève de la faim, a rouvert ses portes comme prévu ce matin. lundi.